50. En supputant le nombre des années qui resteront depuis le temps où il aura été vendu, jusqu'à l'année du jubilé, et en rabattant à son maître, sur le prix qu'il avait donné en l'achetant, ce qui lui peut être dû à lui-même pour le temps qu'il l'a servi, en comptant ses journées comme celles d'un mercenaire.





“De todos os que vierem pedir meu auxílio, nunca perderei nenhum!” São Padre Pio de Pietrelcina