Trouvé 66 Résultats pour: Job

  • De même que les chefs de tribu insultaient au bienheureux Job, ainsi les parents et les amis de Tobie raillaient sa conduite, en disant : (Tobie 2, 15)

  • Il y avait dans le pays de Hus un homme nommé Job; cet homme était intègre, droit, craignant Dieu et éloigné du mal. (Job 1, 1)

  • Et, quand le cercle des festins était fini, Job envoyait chercher ses fils et les purifiait; puis il se levait de bon matin et offrait un holocauste pour chacun d'eux, car il se disait: « Peut-être mes fils ont-ils péché et offensé Dieu dans leur coeur!... » Et Job faisait ainsi chaque fois. (Job 1, 5)

  • Yahweh dit à Satan: « As-tu remarqué mon serviteur Job? Il n'y a pas d'homme comme lui sur la terre, intègre, droit, craignant Dieu et éloigné du mal. » (Job 1, 8)

  • Satan répondit à Yahweh: « Est-ce gratuitement que Job craint Dieu? (Job 1, 9)

  • un messager vint dire à Job: « Les boeufs étaient à labourer et les ânesses paissaient autour d'eux; (Job 1, 14)

  • Alors Job se leva, il déchira son manteau et se rasa la tête; puis, se jetant par terre, 21 il adora et dit: « Nu je suis sorti du sein de ma mère, et nu j'y retournerai. Yahweh a donné, Yahweh a ôté; que le nom de Yahweh soit béni! » (Job 1, 20)

  • En tout cela, Job ne pécha point et ne dit rien d'insensé contre Dieu. (Job 1, 22)

  • Yahweh dit à Satan: « As-tu remarqué mon serviteur Job? Il n'y a pas d'homme comme lui sur la terre, intègre, droit, craignant Dieu et éloigné du mal. Il persévère toujours dans son intégrité, quoique tu m'aies provoqué à le perdre sans raison. » (Job 2, 3)

  • Et Satan se retira de devant la face de Yahweh. Et il frappa Job d'une lèpre maligne depuis la plante des pieds jusqu'au sommet de la tête. (Job 2, 7)

  • Et Job prit un tesson pour gratter ses plaies et il s'assit sur la cendre. (Job 2, 8)

  • Il lui dit: « Tu parles comme une femme insensée. Nous recevons de Dieu le bien, et nous n'en recevrions pas aussi le mal? » En tout cela, Job ne pécha point par ses lèvres. (Job 2, 10)


“É necessário manter o coração aberto para o Céu e aguardar, de lá, o celeste orvalho.” São Padre Pio de Pietrelcina