Talált 8 Eredmények: Bochri

  • En même temps il se trouva là un homme de Bélial, nommé Séba, fils de Bochri, de la tribu de Benjamin; et il sonna de la trompette, en disant : Nous n'avons point de part avec David, et nous n'attendons rien du fils d'Isaï; Israël, retournez chacun dans vos tentes. (2 Samuel 20, 1)

  • Ainsi tout Israël se sépara de David, et suivit Séba, fils de Bochri. Mais ceux de Juda adhérèrent à leur roi, et l'accompagnèrent depuis le Jourdain jusqu'à Jérusalem. (2 Samuel 20, 2)

  • David dit donc à Abisaï : Séba, fils de Bochri, nous fera maintenant plus de mal qu'Absalom. Prenez donc ce que j'ai de troupes, et poursuivez-le de peur qu'il ne s'empare des places fortes, et qu'il ne nous échappe. (2 Samuel 20, 6)

  • Il partit donc de Jérusalem avec les hommes de Joab, les Céréthiens et les Phéléthiens, et tous les vaillants hommes afin de poursuivre Séba, fils de Bochri. (2 Samuel 20, 7)

  • Et comme Amasa ne prenait pas garde à l'épée qu'avait Joab, Joab l'en frappa dans le côté; les entrailles lui sortirent du corps, et, sans qu'il fût besoin d'un second coup, il tomba mort. Or Joab et Abisaï son frère continuèrent à poursuivre Séba, fils de Bochri. (2 Samuel 20, 10)

  • Lors donc qu'on l'eut ôté du chemin, tout le monde marcha derrière Joab, et poursuivit Séba, fils de Bochri. (2 Samuel 20, 13)

  • Ce n'est point là mon intention; mais je cherche Séba, fils de Bochri, de la montagne d'Ephraïm, qui s'est soulevé contre le roi David. Rendez-nous seulement cet homme, et nous nous retirerons. Cette femme dit à Joab : On vous jettera sa tête par dessus la muraille. (2 Samuel 20, 21)

  • Elle alla ensuite trouver tout le peuple; et elle leur parla si sagement, qu'ils prirent la tête de Séba, fils de Bochri, et la jetèrent à Joab. Il sonna de la trompette, et s'éloigna de la ville, et chacun s'en retourna chez soi, et Joab revint trouver le roi à Jérusalem. (2 Samuel 20, 22)


“É sempre necessário ir para a frente, nunca para trás, na vida espiritual. O barco que pára em vez de ir adiante é empurrado para trás pelo vento.” São Padre Pio de Pietrelcina