Fondare 475 Risultati per: villes

  • Mareth, Beth-Anoth et Eltécon; six villes, et leursvillages. (Josué 15, 59)

  • Nebsan, Ir-Hammélach et En-Gaddi: six villes et leursvillages. (Josué 15, 62)

  • La limite descendait au torrent de Cana, au midi du torrent;les villes de cette région, échues àEphraïm, étaient au milieu des villes deManassé; et la limite de Manassé était aunord du torrent et aboutissait à la mer. (Josué 17, 9)

  • Manassé obtint dans les territoires d'Issachar etd'Aser Bethsan et les villes de sa dépendance,Jéblaam et les villes de sa dépendance, leshabiants de Dor et les villes de sa dépendance, leshabiants d'Endor et les villes de sa dépendance, leshabiants de Thénac et les villes de sa dépendance,les habiants de Mageddo et les villes de sa dépendance:c'est le distict des trois Collines. (Josué 17, 11)

  • Les fils de Manassé ne purent pas prendre possession deces villes, et les Chananéens s'enhardirent àrester dans ce pays. (Josué 17, 12)

  • Les fils de Joseph dirent: «La montagne ne nous suffitpas, et il y a des chariots de fer chez tous lesChananéens qui habitent le pays plat, chez ceux qui sontà Bethsan et dans les villes de sa dépendance, etchez ceux qui sont dans la vallée deJezraël.» (Josué 17, 16)

  • Ces hommes partirent et, parcourant le pays, ils ledécrivirent dans un livre selon les villes, en lepartageant en sept portions; et ils revinrent auprès deJosué, dans le camp, à Silo. (Josué 18, 9)

  • Les villes de la tribu des fils de Benjamin, selon leursfamilles, étaient: Jéricho, Beth-Hagla,Emek-Casis, (Josué 18, 21)

  • Képhar-Emona, Ophni et Gabée: douze villes etleurs villages. (Josué 18, 24)

  • Séla, Eleph, Jébus, qui est Jérusalem,Gabaath, et Cariath: quatorze villes et leurs villages. Tel fut l'héritage des fils de Benjamin selon leursfamilles. (Josué 18, 28)

  • Beth-lebaoth et Sarohen: treize villes et leurs villages. (Josué 19, 6)

  • Aïn, Remmon, Athar et Asan, quatre villes et leursvillages; (Josué 19, 7)


“Amar significa dar aos outros – especialmente a quem precisa e a quem sofre – o que de melhor temos em nós mesmos e de nós mesmos; e de dá-lo sorridentes e felizes, renunciando ao nosso egoísmo, à nossa alegria, ao nosso prazer e ao nosso orgulho”. São Padre Pio de Pietrelcina