Encontrados 190 resultados para: Étais

  • Déjà quand j'étais jeune, avant tous mes voyages, j'ai carrément demandé la sagesse dans la prière. (Ecclésiastique 51, 13)

  • Tu diras en ce jour: "Je te chante Yahvé! Car tu t'étais mis en colère contre moi mais ta colère s'est apaisée et tu m'as secouru. (Isaïe 12, 1)

  • Le jour où Yahvé t'aura délivré de ta peine, de ton angoisse, et de ce dur esclavage auquel tu étais soumis, (Isaïe 14, 3)

  • ils affrontaient l'océan. Les semences de Chihor, les moissons du Nil étaient ta richesse, tu étais le marché des nations. (Isaïe 23, 3)

  • "Depuis longtemps j'ai gardé le silence, je me taisais, je me retenais de parler; comme la femme qui enfante je gémissais, je soufflais, j'étais haletant. (Isaïe 42, 14)

  • Vois, Jacob, tu ne criais guère vers moi, tu t'étais fatigué de moi. (Isaïe 43, 22)

  • Tu ne m'apportais pas tes agneaux pour un holocauste, tu ne m'honorais pas par des sacrifices. Et moi, je ne t'imposais pas des offrandes, tu n'étais pas taxé pour de l'encens. (Isaïe 43, 23)

  • Tu n'as pas dépensé beaucoup en roseaux parfumés, la graisse de tes sacrifices ne m'a pas étouffé. Tu m'as obligé à supporter tes péchés, j'étais fatigué de tes fautes. (Isaïe 43, 24)

  • J'étais en colère contre mon peuple, j'avais rejeté mon héritage, je l'avais livré entre tes mains, mais tu les as traités sans pitié; tu as fait peser sur le vieillard un lourd esclavage. (Isaïe 47, 6)

  • "Venez à moi et écoutez: dès le début je n'ai pas parlé en cachette. J'étais présent dès le début de ces événements. Et maintenant le Seigneur Yahvé m'envoie avec son Esprit. (Isaïe 48, 16)

  • De nouveau tes fils - tu en étais privée - te diront à l'oreille: "L'endroit est trop petit pour moi, fais-moi de la place, que je puisse m'installer." (Isaïe 49, 20)

  • Alors tu diras en ton coeur: "Qui m'a enfanté ceux-là? J'étais privée d'enfants et stérile, j'étais rejetée, exilée - et ceux-ci, qui les a élevés? Voici que j'étais restée seule, ceux-ci, où étaient-ils?" (Isaïe 49, 21)


“De que vale perder-se em vãos temores?” São Padre Pio de Pietrelcina