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Contemple Sion, la ville de nos fêtes, regarde de tous tes yeux Jérusa lem, l'oasis de paix, la tente qui ne sera pas déplacée. Jamais ses pieux ne seront arrachés, nulle de ses cordes ne sera rompue. (Isaïe 33, 20)
Ce pays brûlera nuit et jour, et sa fumée montera éternellement. Il sera aride à jamais, nul n'y passera. (Isaïe 34, 10)
On n'y verra jamais le lion, les bêtes sauvages n'y monteront pas; on n'en rencontrera pas sur cette route, mais les rachetés y marcheront. (Isaïe 35, 9)
L'herbe se dessèche et la fleur se fane, mais la parole de notre Dieu demeure à jamais." (Isaïe 40, 8)
mais Israël sera sauvé par Yahvé, pour toujours. Plus jamais dans les siècles à venir vous ne connaîtrez la honte ni l'humiliation. (Isaïe 45, 17)
Descends, assieds-toi dans la poussière, vierge, fille de Babylone! Tu n'as plus de trône, assieds-toi par terre, fille des Kaldéens, plus jamais on ne t'appellera la tendre et la délicate. (Isaïe 47, 1)
Assieds-toi en silence, enfonce-toi dans les ténèbres, fille des Kaldéens, on ne t'appellera plus jamais la reine des royaumes. (Isaïe 47, 5)
Maintenant, écoute ceci, toi la délicate, installée dans ton assurance, toi qui penses: "Il n'y a que moi, rien que moi, jamais je ne serai veuve, jamais je ne serai privée d'enfants." (Isaïe 47, 8)
Tu ne connaissais rien de cela, tu n'en savais rien, jamais ton oreille ne l'avait entendu; car je savais à quel point tu es rebelle et qu'on t'appelle "Infidèle-depuis-le-sein-maternel." (Isaïe 48, 8)
ta descendance serait comme le sable, et les fruits de ton sein comme les grains de sable; leur nom ne serait jamais retranché ni effacé de devant moi." (Isaïe 48, 19)
Voici ce que dit le Seigneur Yahvé, ton Dieu qui combat pour son peuple: Regarde, je reprends de ta main la coupe qui fait perdre le sens, la coupe de ma colère; jamais plus tu ne la boiras. (Isaïe 51, 22)
Réveille-toi, réveille-toi, arme-toi de force, Sion! Habille-toi de belles robes, Jérusalem ville sainte, car plus jamais l'incirconcis ou l'impur n'entreront chez toi. (Isaïe 52, 1)