Encontrados 51 resultados para: trouble

  • En apprenant ces nouvelles, le roi fut frappé de terreur, un grand trouble le saisit ; il se jeta sur son lit et tomba malade de tristesse, parce que ses désirs ne s'étaient pas réalisés. (1 Maccabées 6, 8)

  • les Juifs bénissaient le Seigneur qui avaitglorifié son saint lieu, et le temple, qui était uninstant auparavant plein d'épouvante et de trouble, fut,grâce à la manifestation du Seigneur tout-puissant,rempli de joie et d'allégresse. (2 Maccabées 3, 30)

  • Notre père ayant ététransféré parmi les dieux, nous, -- voulant queceux de notre royaume se livrent sans trouble au soin de leursaffaires, (2 Maccabées 11, 23)

  • Celui qui trouble sa maison héritera le vent, et l'insensé sera l'esclave de l'homme sage. (Proverbes 11, 29)

  • Il y a grande richesse dans la maison du juste, mais il y a du trouble dans les gains du méchant. (Proverbes 15, 6)

  • Mieux vaut peu avec la crainte de Yahweh, qu'un grand trésor avec le trouble. (Proverbes 15, 16)

  • Celui qui est âpre au gain trouble sa maison, mais celui qui hait les présents vivra. (Proverbes 15, 27)

  • Eux qui se faisaient forts de chasser des âmes malades la terreur et le trouble, ils étaient malades eux-mêmes d'une peur ridicule. (Sagesse 17, 8)

  • Pourquoi s'enorgueillit ce qui est terre et poussière? Car pendant sa vie je mets le trouble dans ses membres; (Ecclésiastique 10, 9)

  • Tiens-toi éloigné de la dispute, et tu pècheras moins; car l'homme irascible échauffe la querelle, et le pécheur met le trouble parmi les amis, et jette la calomnie parmi ceux qui vivent en paix. (Ecclésiastique 28, 8)

  • Ce qui trouble leurs pensées et fait craindre leurs c?urs, c'est la pensée de leur attente, c'est la crainte de la mort. (Ecclésiastique 40, 2)

  • la colère, l'envie, le trouble, l'agitation, la crainte de la mort, l'aigreur et les querelles sont le partage de tous; et, dans le temps où chacun repose sur sa couche, le sommeil de la nuit bouleverse ses idées. (Ecclésiastique 40, 5)


“Amar significa dar aos outros – especialmente a quem precisa e a quem sofre – o que de melhor temos em nós mesmos e de nós mesmos; e de dá-lo sorridentes e felizes, renunciando ao nosso egoísmo, à nossa alegria, ao nosso prazer e ao nosso orgulho”. São Padre Pio de Pietrelcina