Gefunden 450 Ergebnisse für: Jacob et Ésaü

  • Les messagers revinrent vers Jacob en disant: "Nous avons rejoint ton frère Esaü; il marche à ta rencontre avec quatre cents hommes." (Genèse 32, 7)

  • Jacob eut alors très peur et il fut saisi d'angoisse. Il partagea en deux camps les gens qui étaient avec lui, ainsi que le petit et le gros bétail; il fit de même pour les chameaux. (Genèse 32, 8)

  • Car il se disait: "Si Esaü rejoint un camp et l'attaque, l'autre pourra s'échapper." (Genèse 32, 9)

  • Jacob dit alors: "Dieu de mon père Abraham et Dieu de mon père Isaac, ô Yahvé, toi qui m'as dit: Retourne dans ton pays et dans ta patrie et je te ferai du bien, (Genèse 32, 10)

  • Délivre- moi de la main de mon frère, de la main d'Esaü, car j'ai peur qu'il ne vienne et nous frappe, la mère avec les enfants. (Genèse 32, 12)

  • Et Jacob passa la nuit en cet endroit. Jacob prit sur ses biens de quoi faire un cadeau à son frère Esaü: (Genèse 32, 14)

  • Au premier il donna cet ordre: "Quand mon frère Esaü te rencontrera, il te posera la question: A qui appartiens-tu et où vas-tu? A qui appartient ce que tu as là? (Genèse 32, 18)

  • Alors tu répondras: Tout appartient à ton serviteur Jacob. C'est un cadeau qu'il envoie à mon seigneur Esaü, lui-même arrive derrière nous." (Genèse 32, 19)

  • Il donna également ses instructions au deuxième, puis au troisième, bref, à tous ceux qui accompagnaient les troupeaux. Il leur disait: "Voilà comment vous parlerez à Esaü quand vous le rencontrerez, (Genèse 32, 20)

  • vous lui direz: Ton serviteur Jacob arrive tout de suite derrière nous." Il pensait en effet: "Le cadeau que j'envoie devant moi l'apaisera et je pourrai alors le regarder en face. Peut-être me fera-t-il bon accueil." (Genèse 32, 21)

  • Et Jacob resta seul. Quelqu'un lutta avec lui jusqu'au lever du jour. (Genèse 32, 25)

  • Voyant qu'il ne pouvait dominer Jacob, il le toucha à l'articulation de la hanche, et la hanche de Jacob se démit tandis qu'il luttait avec lui. (Genèse 32, 26)


“Tenhamos sempre horror ao pecado mortal e nunca deixemos de caminhar na estrada da santa eternidade.” São Padre Pio de Pietrelcina