Gefunden 406 Ergebnisse für: Jacob and Esau

  • Jacob lui répondit: Vous savez que mon frère Esaü a le corps velu, et que moi je n'ai pas de poil. (Genèse 27, 11)

  • Elle fit prendre ensuite à Jacob de très beaux habits d'Esaü, qu'elle gardait elle-même à la maison. (Genèse 27, 15)

  • Jacob porta le tout devant Isaac, et lui dit: Mon père. Je vous entends, dit Isaac. Qui êtes-vous, mon fils? (Genèse 27, 18)

  • Jacob lui répondit: Je suis Esaü votre fils aîné. J'ai fait ce que vous m'avez commandé: levez-vous, mettez-vous sur votre séant, et mangez de ma chasse afin que vous me donniez votre bénédiction. (Genèse 27, 19)

  • Jacob s'approcha de son père; et Isaac, l'ayant tâté, dit: Pour la voix, c'est la voix de Jacob; mais les mains sont les mains d'Esaü. (Genèse 27, 22)

  • Lui dit: Etes-vous mon fils Esaü? Je le suis, répondit Jacob. (Genèse 27, 24)

  • Mon fils, ajouta Isaac, apportez-moi à manger de votre chasse, afin que je vous bénisse. Jacob lui en présenta; et après qu'il en eut mangé, il lui présenta aussi du vin qu'il but. (Genèse 27, 25)

  • Isaac ne faisait que d'achever ces paroles, et Jacob était à peine sorti dehors, lorsqu'Esaü entra, (Genèse 27, 30)

  • Isaac lui dit: Qui êtes-vous donc? Esaü lui répondit: Je suis Esaü votre fils aîné. (Genèse 27, 32)

  • Esaü, à ces paroles de son père, jeta un cri furieux; et, étant dans une extrême consternation, il lui dit: Donnez-moi aussi votre bénédiction, mon père. (Genèse 27, 34)

  • C'est avec raison, dit Esaü, qu'il a été appelé Jacob; car voici la seconde fois qu'il m'a supplanté. Il m'a enlevé auparavant mon droit d'aînesse; et présentement il vient encore de me dérober la bénédiction qui m'était due. Mais, mon père, ajouta Esaü, ne m'avez-vous point réservé aussi une bénédiction? (Genèse 27, 36)

  • Esaü lui repartit: N'avez-vous donc, mon père, qu'une seule bénédiction? Je vous conjure de me bénir aussi. Il jeta ensuite de grands cris mêlés de larmes. (Genèse 27, 38)


“Quando te encontrares diante de Deus, na oração considera-te banhado na luz da verdade, fala-lhe se puderes, deixa simplesmente que te veja e não tenhas preocupação alguma”. São Padre Pio de Pietrelcina