Fundar 241 Resultados para: belle-soeur

  • Le Pharaon avait de l'estime pour Hadad, il lui donna comme épouse la soeur de sa femme (l'épouse royale se dit Tafnés en Egyptien). (1 Rois 11, 19)

  • La soeur de Tafnés donna un fils à Hadad: il l'appela Guénoubat. Tafnés éleva Guénoubat dans la maison du Pharaon; il vivait dans le palais au milieu des enfants du Pharaon. (1 Rois 11, 20)

  • "Qu'il y ait alliance entre moi et toi, entre mon père et ton père. Je te fais remettre une belle somme d'argent et d'or, mais brise ton alliance avec Bacha, roi d'Israël, pour qu'il s'éloigne de moi." (1 Rois 15, 19)

  • Pendant que l'on mettait à mort tous les fils du roi, Yochéba, fille du roi Joram et soeur d'Okozias, retira discrètement l'un d'entre eux, Joas fils d'Okozias. Elle fit passer l'enfant avec sa nourrice dans la chambre des lits. Elle put ainsi le cacher à Athalie et il ne fut pas mis à mort. (2 Rois 11, 2)

  • Fils de Lotan: Hori, Homam. Timna est la soeur de Lotan. (1 Chroniques 1, 39)

  • La belle-fille de Juda, Tamar, lui enfanta Farès et Zara. Les fils de Juda sont cinq en tout. (1 Chroniques 2, 4)

  • Voilà tous les fils de David, sans compter les fils des concubines et leur soeur, Tamar. (1 Chroniques 3, 9)

  • Fils de Pédayas: Zorobabel et Chiméï. Fils de Zorobabel: Méchoullam et Hananya; leur soeur s'appelait Chélomit. (1 Chroniques 3, 19)

  • Abi-Etam, Yizréel, Yichma et Yidbach avaient une soeur Haslelponi. (1 Chroniques 4, 3)

  • Le père de Kéïla le Garmite est Echtémoa: le Maakatite était fils de la soeur de Naam, femme de Ohodia. (1 Chroniques 4, 19)

  • Makir prit une femme pour Oupim et Choupim. Sa soeur s'appelait Maaka. Le second fils de Manassé était Séloféhad. Séloféhad n'eut que des filles. (1 Chroniques 7, 15)

  • Sa soeur Ha-Moléket. Elle enfanta Ichéhod, Abiézer et Mahla. (1 Chroniques 7, 18)


“O Santo Sacrifício da Missa é o sufrágio mais eficaz, que ultrapassa todas as orações, as boas obras e as penitências. Infalivelmente produz seu efeito para vantagem das almas por sua virtude própria e imediata.” São Padre Pio de Pietrelcina