Löydetty 90 Tulokset: Secours
Malheur à ceux qui vont chercher du secours en Egypte, et se croient sauvés avec de la cavalerie! Là les chars sont nombreux, les cava liers sont forts, et ils se sentent rassurés. Mais ils n'ont pas regardé vers le Saint d'Israël, ils n'ont pas consulté Yahvé. (Isaïe 31, 1)
L'Egyptien est un homme, il n'est pas Dieu: ses chevaux sont chair et non esprit. Au premier coup, si Yahvé frappe, celui qui portait secours trébuchera, celui qu'on secourait tombera, les deux seront éliminés. (Isaïe 31, 3)
Car moi, Yahvé, je suis ton Dieu. Je t'ai saisi par la main droite et je te dis: "Ne crains pas, je suis ton secours." (Isaïe 41, 13)
Ne crains pas, pauvre Jacob, toi Israël, si fragile! C'est moi ton secours - parole de Yahvé. Le Saint d'Israël s'est fait ton rédempteur. (Isaïe 41, 14)
Ainsi parle Yahvé: Au temps favorable je t'ai écouté, au jour du salut je t'ai porté secours; je t'ai formé et préparé en vue d'une alliance avec le peuple: tu relèveras le pays, tu répartiras les héritages dévastés, (Isaïe 49, 8)
Jérusalem se souvient de ses jours de peine et de détresse: son peuple tombait aux mains de l'ennemi, et nul ne venait à son secours; ses ennemis la voyaient et se moquaient de sa ruine. (Lamentations 1, 7)
Et nos yeux s'épuisaient attendant un secours illusoire; nous attendions, de nos miradors, une nation incapable de sauver. (Lamentations 4, 17)
Il dressera les tentes de son armée entre la mer et les montagnes du pays de Beauté. Après quoi il arrivera à sa fin et nul ne lui portera secours. (Daniel 11, 45)
"Du fond de ma détresse j'ai lancé un appel à Yahvé: il m'a répondu. Du gouffre des morts j'ai crié au secours et tu as entendu ma voix. (Jonas 2, 3)
Jusqu'à quand, Yahvé, appellerai-je au secours sans que tu écoutes? Jusqu'à quand vais-je crier: "Violence!" sans que tu sauves? (Habaquq 1, 2)
Tu es sorti au secours de ton peuple, pour secourir celui que tu as consacré. Tu fracasses la tête du méchant, tu le ruines jusqu'à ses racines. (Habaquq 3, 13)
Tous alors protesteront: "Seigneur, quand t'avons-nous vu affamé ou assoiffé, quand t'avons-nous vu étranger, sans vêtement, malade et en prison, sans te porter secours?" (Matthieu 25, 44)