Löydetty 184 Tulokset: cents

  • Jonathan demanda au roi de dispenser d'impôts la Judée et les trois districts de Samarie; il lui promit en retour trois cents talents d'argent. (1 Maccabées 11, 28)

  • Simon envoya alors à Rome Nouménios avec un grand bouclier d'or pesant plus de cinq cents kilos, pour confirmer l'alliance avec les Romains. (1 Maccabées 14, 24)

  • Ils ont apporté un bouclier d'or de plus de cinq cents kilos, (1 Maccabées 15, 18)

  • Sinon, donnez cinq cents talents d'argent à leur place et cinq cents autres pour les ravages que vous avez commis et pour les impôts que devaient ces cités. Si vous ne le faites pas, nous partirons en guerre contre vous." (1 Maccabées 15, 31)

  • qu'une partie appartenait à Hyrcan fils de Tobie, un homme très important, mais que contrairement aux mensonges de Simon, cet homme impie, le trésor se réduisait à quatre cents talents d'argent et deux cents talents d'or. (2 Maccabées 3, 11)

  • le méprisable Jason envoya comme délégués de Jérusalem des "citoyens d'Antioche" qui portaient avec eux trois cents drachmes d'argent pour le sacrifice en l'honneur d'Héraclès. Heureusement, ceux qui portaient cet argent ne voulurent pas le donner pour le sacrifice, pensant que ce n'était pas convenable, et demandèrent qu'on en fasse un autre usage. (2 Maccabées 4, 19)

  • Ménélas se fit recommander auprès du roi et se présenta comme un homme important; il lui offrit trois cents talents d'argent de plus que ne l'avait fait Jason et se fit attribuer le souverain pontificat. (2 Maccabées 4, 24)

  • Antiocus donc, avait enlevé dix-huit cents talents dans le Temple et s'en était retourné rapidement à Antioche; dans son orgueil il se croyait capable de rendre navigable la terre ferme et de tracer des routes sur la mer. (2 Maccabées 5, 21)

  • Il plaça ses frères Simon, Joseph et Jonathas à la tête de chacune des troupes, et il leur donna à chacun quinze cents hommes. Eléazar était là lui aussi. (2 Maccabées 8, 22)

  • On en égorgea vingt mille cinq cents, ainsi que six cents cavaliers. (2 Maccabées 10, 31)

  • Ils se lancèrent comme des lions sur les ennemis et ils en tuèrent onze mille, plus seize cents cavaliers, obligeant tous les autres à prendre la fuite. (2 Maccabées 11, 11)

  • cela répondait à un décret de la ville qui ne laissait voir aucune mauvaise intention. Les Juifs acceptèrent donc comme des gens qui veulent la paix et n'ont aucune méfiance; mais quand ils furent au large, on les fit couler par le fond. Ils étaient au moins deux cents. (2 Maccabées 12, 4)


“O demônio é forte com quem o teme, mas é fraco com quem o despreza.” São Padre Pio de Pietrelcina