Löydetty 1052 Tulokset: descendants de David

  • Cela déplut beaucoup à Saül et il se mit en colère. Il se dit: "On en donne dix mille à David et seulement mille à moi, il ne lui manque plus que la royauté." (1 Samuel 18, 8)

  • A partir de ce jour, Saül regarda David d'un oeil mauvais. (1 Samuel 18, 9)

  • Le lendemain, un mauvais esprit de Dieu fondit sur Saül, il était comme un fou dans sa maison. David jouait de la cithare comme chaque jour, mais Saül avait saisi sa lance. (1 Samuel 18, 10)

  • Il brandit sa lance en pensant: "Je vais clouer David au mur." Mais par deux fois David évita le coup. (1 Samuel 18, 11)

  • Saül redoutait David parce que Yahvé était avec lui, et qu'il s'était retiré de Saül. (1 Samuel 18, 12)

  • Saül éloigna donc David de chez lui et il en fit un chef de mille: il allait et venait à la tête du peuple. (1 Samuel 18, 13)

  • David réussissait dans toutes ses expéditions, car Yahvé était avec lui. (1 Samuel 18, 14)

  • Saül vit les succès de David et il le redouta. (1 Samuel 18, 15)

  • Tout Israël et Juda, en effet, aimaient David parce qu'il allait et venait à leur tête. (1 Samuel 18, 16)

  • Saül dit alors à David: "Tu connais ma fille aînée Mérob. Je te la donnerai pour femme si tu te montres courageux à mon service lorsque tu conduis les guerres de Yahvé." Saül se disait en effet: "Qu'il ne meure pas de ma main, mais de la main des Philistins." (1 Samuel 18, 17)

  • David dit à Saül: "Qui suis-je? Quelle valeur a ma vie? Qu'est-ce que la famille de mon père en Israël, pour que je devienne le gendre du roi?" (1 Samuel 18, 18)

  • Mais lorsque le jour arriva où l'on devait donner à David la fille de Saül, Mérob, on la donna pour femme à Adriel de Méhola. (1 Samuel 18, 19)


“É sempre necessário ir para a frente, nunca para trás, na vida espiritual. O barco que pára em vez de ir adiante é empurrado para trás pelo vento.” São Padre Pio de Pietrelcina