Löydetty 257 Tulokset: fête du mariage

  • Elle jeûnait tous les jours, sauf la veille du sabbat, le jour même du sabbat, la veille des nouvelles lunes, au jour des nouvelles lunes, et les jours de fête et de joie en Israël. (Judith 8, 6)

  • elle se releva, appela sa servante et descendit dans la maison comme elle faisait les jours de sabbat et les jours de fête. (Judith 10, 2)

  • Elle enleva le sac qu'elle portait sur son corps et quitta ses habits de deuil, elle prit un bain, se parfuma abondamment, peigna ses cheveux; elle se mit un turban et enfila une robe de fête qu'elle portait du vivant de son mari Manassé. (Judith 10, 3)

  • Bagoas sortit donc de chez Holoferne et entra dans la tente de Judith. Il lui dit: "Que cette belle servante n'hésite pas à venir chez mon seigneur. Elle sera entourée d'honneurs et elle boira avec nous le vin de la fête. Ce jour-là, elle sera comme l'une des femmes assyriennes qui sont à demeure dans le palais de Nabukodonozor." (Judith 12, 13)

  • Elle se leva, mit ses vêtements de fête et tous ses bijoux; sa servante marchait devant elle. Elle étala pour elle sur le sol, devant Holoferne, les couvertures qu'elle avait reçues de Bagoas, pour son usage personnel. Ainsi elle pourrait s'installer à terre pour manger. (Judith 12, 15)

  • Il lui dit: "Allez, bois, partage notre fête!" (Judith 12, 17)

  • Les jours de fête étant écoulés, chacun retourna dans son village et Judith revint à Béthulie pour y gérer sa propriété; elle était célèbre dans tout le pays. (Judith 16, 21)

  • Mardochée sortit de chez le roi avec un vêtement royal violet et blanc, une grande couronne d'or et un manteau de lin et de pourpre, et dans la ville de Suse ce fut la fête et la joie. (Esther 8, 15)

  • Pour les Juifs, ce n'était que joie débordante, bonheur, fête et gloire. (Esther 8, 16)

  • A mesure que parvenaient, dans chaque province et dans chaque ville, l'ordre du roi et son décret, ce n'étaient pour les Juifs que joie, fête, banquets et festivités de toute sorte. Bien des gens parmi le peuple du pays se firent Juifs, car ils avaient la crainte des Juifs. (Esther 8, 17)

  • Ils firent cela le treizième jour du mois d'Adar, et ils firent du quatorzième jour un jour de repos, de banquets et de fête. (Esther 9, 17)

  • Les Juifs qui étaient à Suse se réunirent le treize et le quatorze du mois, et ils firent du quinzième jour du mois un jour de repos, de banquets et de fête. (Esther 9, 18)


“A caridade é o metro com o qual o Senhor nos julgará.” São Padre Pio de Pietrelcina