Löydetty 790 Tulokset: Moïse et serpent

  • Et Moïse répondit au Seigneur: Vous voyez que je suis incirconcis des lèvres; comment le Pharaon m'écoutera-t-il? (Exode 6, 30)

  • Alors le Seigneur dit à Moïse: Je vous ai établi le Dieu du Pharaon, et Aaron votre frère sera votre prophète. (Exode 7, 1)

  • Moïse et Aaron firent donc selon que le Seigneur le leur avait ordonné; c'est ainsi qu'ils agirent. (Exode 7, 6)

  • Moïse avait quatre-vingt ans, et Aaron quatre-vingt-trois, lorsqu'ils parlèrent au Pharaon. (Exode 7, 7)

  • Le Seigneur dit encore à Moïse et à Aaron: (Exode 7, 8)

  • Lorsque le Pharaon vous dira: Faites des miracles devant nous, vous direz à Aaron: Prenez votre verge, et jetez-la devant le Pharaon, et elle sera changée en serpent. (Exode 7, 9)

  • Moïse et Aaron, étant donc allés trouver le Pharaon, firent ce que le Seigneur leur avait commandé. Aaron jeta sa verge devant le Pharaon et ses serviteurs, et elle fut changée en serpent. (Exode 7, 10)

  • Alors le coeur du Pharaon s'endurcit, et il n'écouta point Moïse et Aaron, selon que le Seigneur l'avait ordonné. (Exode 7, 13)

  • Et le Seigneur dit à Moïse: Le coeur du Pharaon s'est endurci, il ne veut point laisser aller Mon peuple. (Exode 7, 14)

  • Allez le trouver dès le matin; il sortira pour aller près de l'eau, et vous vous tiendrez sur le bord du fleuve pour venir au-devant de lui. Vous prendrez en votre main la verge qui a été changée en serpent, (Exode 7, 15)

  • Le Seigneur dit encore à Moïse: Dites à Aaron: Prenez votre verge et étendez votre main sur les eaux d'Egypte, sur les fleuves, sur les ruisseaux, sur les marais et sur les eaux de tous les lacs, afin qu'elles soient changées en sang et qu'il n'y ait que du sang dans toute l'Egypte, dans tous les vases de bois ou de pierre. (Exode 7, 19)

  • Moïse et Aaron firent donc ce que le Seigneur leur avait ordonné. Aaron, élevant sa verge, frappa l'eau du fleuve devant le Pharaon et ses serviteurs, et l'eau fut changée en sang. (Exode 7, 20)


“Há alegrias tão sublimes e dores tão profundas que não se consegue exprimir com palavras. O silêncio é o último recurso da alma, quando ela está inefavelmente feliz ou extremamente oprimida!” São Padre Pio de Pietrelcina