2 Chroniques, 13

2. il régna trois ans à Jérusalem. Sa mère était Mikayas, fille d'Ouriel de Gibéa. Il y eut une guerre entre Abiya et Jéroboam.

Aiheeseen liittyvät säkeet 2 Chroniques, 13:

2 Chroniques 13 raconte la guerre entre Abias, le roi de Juda et le roi de Jéroboam d'Israël, qui s'était rebellé contre Roban et a formé un royaume séparé. Pendant la bataille, Abias prononce un discours qui ressemble au peuple de Juda de l'alliance que Dieu a prononcé avec David et ses descendants, et comment cette alliance leur a donné l'avantage moral sur Israël.

Psaume 78:9: "Les fils d'Ephraim, armés et apportant des arcs, ont tourné le dos le jour de la bataille." Ce verset parle de la trahison et de la désertion d'une tribu d'Israël lors d'une bataille, qui aurait pu être similaire à la trahison de Jéroboam par certains de ses hommes.

Psaume 78:35: "Et ils se sont souvenus que Dieu était son rocher, et le dieu le plus élevé son Rédempteur." Ce verset rappelle l'importance de faire confiance à Dieu et de se souvenir de ses promesses pendant les périodes difficiles, comme la bataille entre Juda et Israël.

Psaume 78:71: "D'après les moutons, il lui a donné le pasteur, et Jacob, son peuple, Israël, son héritage." Ce verset explique comment Dieu a choisi David, un simple berger de moutons, pour être le roi d'Israël et diriger son peuple, se souvenant de l'alliance faite avec David que Abias mentionne dans son discours.

Isaiah 55:3: "Incluez les oreilles, et venez à moi; j'entends, et votre âme vivra; car je ferai un pacte perpétuel, vous donnant les avantages fermes de David." Ce verset parle de l'invitation de Dieu à son peuple, leur offrant la vie et une alliance perpétuelle, qui peut être interprétée comme une référence à l'alliance de Dieu avec David qu'Abias mentionne.

Psaume 33:16: "Il n'y a pas de roi qui se sauve avec la grande armée; même l'homme courageux ne se débarrasse pas de beaucoup de force." Ce verset rappelle que la victoire dans une bataille dépend non seulement de la taille ou de la force de l'armée, mais aussi de la volonté de Dieu et de la justice de la cause.