29. La reine Esther, fille d'Abihaïl, et le Juif Mardochée écrivirent encore une seconde lettre, afin qu'on eût tout le soin possible d'établir ce jour comme une fête solennelle à l'avenir.





“Para consolar uma alma na sua dor, mostre todo o bem que ela ainda pode fazer”. São Padre Pio de Pietrelcina