Trouvé 257 Résultats pour: retour des soixante-dix
A son retour à Jérusalem, Jonathas convoqua les anciens du peuple et réso-lut avec eux de construire des forteresses en Judée, (1 Maccabées 12, 35)
En l'an cent soixante-dix, le joug des nations fut ôté d'Israël. (1 Maccabées 13, 41)
Il y fit son entrée le vingt-troi-sième jour du second mois de l'an cent soixante et onze, avec des chants de louange, des rameaux de palmiers, des cithares, des cymbales, des harpes, des hymnes et des cantiques, parce qu'un grand ennemi d'Israël était brisé. (1 Maccabées 13, 51)
L'an cent soixante-douze, le roi Démé-trius assembla ses armées et s'en alla en Médie, pour y recruter des troupes auxiliaires, afin de combatte Trvphon. (1 Maccabées 14, 1)
En voici la copie : "Le dix-huitième jour du mois d'Elul, l'an cent soixante-douze, la troisième année de Simon, grand prêtre, dans Saramel, (1 Maccabées 14, 27)
L'an cent soixante-quatorze, Antiochus se mit en marche vers le pays de ses pères, et toutes les troupes vinrent se ranger auprès de lui, de sorte que peu d'hommes demeurèrent à Typhon. (1 Maccabées 15, 10)
Or Simon, qui inspectait les villes de Judée, s'oc-cupant avec sollicitude de leur bien-être, descendit à Jéricho, lui, Mathathias son fils, et Judas, l'an cent soixante-dix-sept, au onzième mois; c'est le mois de Sabat. (1 Maccabées 16, 14)
Pour moi, je suis étendu sur un lit, sans force, merappelant avec amour les marques d'honneur et de bienveillanceque j'ai reçues de vous. "A mon retour des contrées de la Perse, étanttombé dans une maladie cruelle, j'ai jugénécessaire de m'occuper du bien-être de tous. (2 Maccabées 9, 21)
Voici le palanquin de Salomon ; autour de lui, soixante braves, d'entre les vaillants d'Israël; (Cantique des Cantiques 3, 7)
Il y a soixante reines, quatre-vingts concubines, et des jeunes filles sans nombre : (Cantique des Cantiques 6, 8)
Notre vie est le passage d'une ombre; sa fin est sans retour, le sceau est apposé et nul ne revient. (Sagesse 2, 5)
A mon retour dans ma maison, je me reposerai auprès d'elle; car sa société ne cause aucune amertume, ni son commerce aucun ennui, mais le contentement et la joie. (Sagesse 8, 16)