Deutéronome, 32

14. la crème des vaches et le lait des brebis, avec la graisse des agneaux, les béliers de Bashan et les boucs, et la meilleure farine de blé: le sang des raisins devient sa boisson.

Versets liés à Deutéronome, 32:

Deutéronome 32 C'est une chanson que Moïse chante au peuple d'Israël pour leur rappeler la fidélité de Dieu et les punitions qui peuvent leur venir s'ils abandonnent l'alliance avec lui. Ce chapitre souligne l'importance de l'obéissance et de la justice, ainsi que des soins divins pour son peuple et sa colère divine contre ceux qui les rejettent.

Jérémie 21:12: "O House of David, ainsi dit le Seigneur, pratiquer la justice le matin, et délivrer les opprimés de la main de l'oppresseur, qu'elle ne sortira pas de votre colère, qui brûle et personne ne l'a effacée, car du mal de vos œuvres. " La pratique de la justice est un thème central de Deutéronome 32, et ce verset souligne l'importance d'agir la justice pour empêcher la colère de Dieu.

Psaume 81:11-13: "Mais mon peuple ne voulait pas entendre ma voix, et Israël ne voulait pas m'obéir. Ensuite, je les ai donnés aux désirs de leur cœur, afin qu'ils soient dans leurs propres conseils. Ah, Si mon peuple m'avait entendu! Si Israël avait marché dans mes manières! " Ces versets reflètent la préoccupation du Deutéronome 32 avec l'obéissance à Dieu et les conséquences de la désobéissance.

Ésaïe 49:15-16: "Une femme peut-elle oublier son fils qui allaite encore, afin qu'il ne sympathise pas avec le fils de son ventre? Mais même s'il a oublié, je ne vous oublierai pas. Mes mains je t'ai enregistré; tes murs sont continuellement devant moi. " Le Deutéronome 32 met l'accent sur la fidélité de Dieu à son peuple, et ce verset d'Isaïe reflète la même idée.

Romains 12:19: "Bien-aimés, ne cherchez jamais à se venger, mais partez avec Dieu la colère, car il est écrit:" Ma vengeance est une vengeance; je reviendrai ", dit le Seigneur." La colère de Dieu contre ceux qui le rejettent est un thème important dans Deutéronome 32, et ce verset dans les Romains souligne que c'est Dieu qui doit faire face à la vengeance, pas à des êtres humains.