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  • Abraham écouta Efron, et il pesa pour Efron la somme qu'il avait dite en présence des fils de Heth, soit quatre cents pièces d'argent ayant cours chez les marchands. (Genèse 23, 16)

  • Abraham vieillissait, il avançait en âge et Yahvé l'avait béni en toutes choses. (Genèse 24, 1)

  • Le serviteur prit dix chameaux parmi les chameaux de son maître et se mit en route. Il emportait avec lui tout ce qu'il y avait de meilleur chez son maître. Puis il se leva et s'en alla jusqu'à la ville de Nahor, au pays d'Aram-Naharaïm. (Genèse 24, 10)

  • Il parlait encore lorsque sortit Rébecca, portant sa cruche sur l'épaule. Elle était la fille de Bétuel, le fils que Milka avait donné à Nahor, frère d'Abraham. (Genèse 24, 15)

  • L'homme la regardait en silence: il se demandait si Yahvé avait fait réussir son voyage. (Genèse 24, 21)

  • Or Rébecca avait un frère qui s'appelait Laban. Laban sortit et courut vers la source à la rencontre de l'homme. (Genèse 24, 29)

  • Il avait vu en effet l'anneau et les bracelets aux bras de sa soeur, il avait entendu Rébecca sa soeur, qui racontait: "Voici comment m'a parlé cet homme". Il partit donc à la rencontre de l'homme qui se tenait toujours près des chameaux, à côté de la source, (Genèse 24, 30)

  • Le serviteur raconta à Isaac tout ce qu'il avait fait, (Genèse 24, 66)

  • après quoi Isaac fit entrer Rébecca dans la tente qui avait appartenu à Sara sa mère. Il la prit, elle devint sa femme et il l'aima. Isaac se consola ainsi de la mort de sa mère. (Genèse 24, 67)

  • C'est le champ qu'avait acheté Abraham aux fils de Heth. Là furent donc enterrés Abraham et sa femme Sara. (Genèse 25, 10)

  • Voici la descendance d'Ismaël, le fils que l'Egyptienne Agar, servante de Sara, avait donné à Abraham. (Genèse 25, 12)

  • lequel avait quarante ans lorsqu'il épousa Rébecca. Elle était fille de Bétuel, l'Araméen de Paddan-Aram, et soeur de l'Araméen Laban. (Genèse 25, 20)


“É doce o viver e o penar para trazer benefícios aos irmãos e para tantas almas que, vertiginosamente, desejam se justificar no mal, a despeito do Bem Supremo.” São Padre Pio de Pietrelcina