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Le premier étant mort de cette manière, on amenale second pour le supplice, et après lui avoirarraché la peau de la tête avec les cheveux, on luidemanda s'il voulait manger du porc avant d'êtretorturé dans tous les membres de son corps. (2 Maccabées 7, 7)
elle amasse en été de quoi manger, elle recueille pendant la moisson se nourriture. (Proverbes 6, 8)
On ne méprise pas un voleur qui dérobe pour satisfaire sa faim, quand il n'a rien à manger: (Proverbes 6, 30)
Si ton ennemi a faim, donne-lui du pain à manger, s'il a soif, donne-lui de l'eau à boire; (Proverbes 25, 21)
Il n'est pas bon de manger beaucoup de miel; ainsi celui qui veut sonder la majesté divine sera accablé par sa gloire. (Proverbes 25, 27)
Il n'y a rien de meilleur pour l'homme que de manger et de boire, et de faire jouir son âme du bien-être, au milieu de son travail; mais j'ai vu que cela aussi vient de la main de Dieu. (Ecclésiaste (or Qohélet) 2, 24)
Qui en effet peut, sans lui, manger et jouir du bien-être? (Ecclésiaste (or Qohélet) 2, 25)
Le sommeil du travailleur est doux, qu'il ait peu ou beaucoup à manger; mais la satiété du riche ne le laisse pas dormir. (Ecclésiaste (or Qohélet) 5, 11)
Voici donc ce que j'ai vu: c'est qu'il est bon et séant pour l'homme de manger et de boire et de jouir du bien-être dans tout son travail, auquel il se livre sous le soleil, durant les jours de vie que Dieu lui donne; car c'est là sa part. (Ecclésiaste (or Qohélet) 5, 17)
De plus, pour tout homme à qui Dieu donne richesses et biens, avec pouvoir d'en manger, d'en prendre sa part et de se réjouir de son travail, c'est là un don de Dieu. (Ecclésiaste (or Qohélet) 5, 18)
Aussi j'ai loué la joie, parce qu'il n'y a de bonheur pour l'homme sous le soleil qu'à manger et à boire et à se réjouir; et c'est là ce qui doit l'accompagner dans son travail, pendant les jours de vie que Dieu lui donne sous le soleil. (Ecclésiaste (or Qohélet) 8, 15)
de sorte que les uns, malgré leur désir de manger, à l'aspect répugnant des insectes envoyés contre eux, prirent en aversion même leur appétit naturel, tandis que les autres, après une légère privation, goûtèrent une nourriture nouvelle. (Sagesse 16, 3)