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  • Joab lui répondit : Vive le Seigneur, si vous eussiez parlé, le peuple se serait retiré dès le matin, et il eût cessé de poursuivre ses frères. (2 Samuel 2, 27)

  • Joab sonna donc de la trompette, et toute l'armée s'arrêta, et cessa de poursuivre Israël et de le combattre. (2 Samuel 2, 28)

  • Joab, ayant cessé de poursuivre Abner, et étant revenu, assembla toute l'armée; et on ne trouva de morts, du côté de David, que dix-neuf hommes, sans compter Asaël. (2 Samuel 2, 30)

  • Et le roi David cessa de le poursuivre, parce qu'il s'était enfin consolé de la mort d'Amnon. (2 Samuel 13, 39)

  • Achitophel dit donc à Absalom : Je vais prendre douze mille hommes d'élite, et j'irai poursuivre David cette nuit même; (2 Samuel 17, 1)

  • Aussitôt Joab fit sonner la retraite, et, voulant épargner le peuple, il empêcha ses gens de poursuivre davantage Israël qui fuyait. (2 Samuel 18, 16)

  • Il partit donc de Jérusalem avec les hommes de Joab, les Céréthiens et les Phéléthiens, et tous les vaillants hommes afin de poursuivre Séba, fils de Bochri. (2 Samuel 20, 7)

  • Et comme Amasa ne prenait pas garde à l'épée qu'avait Joab, Joab l'en frappa dans le côté; les entrailles lui sortirent du corps, et, sans qu'il fût besoin d'un second coup, il tomba mort. Or Joab et Abisaï son frère continuèrent à poursuivre Séba, fils de Bochri. (2 Samuel 20, 10)

  • et elles résolurent d'exterminer ceux de la race de Jacob qui étaient parmi eux, et commencèrent à tuer quelques-uns du peuple et à poursuivre les autres. (1 Maccabées 5, 2)

  • mais ils revinrent, pressés par l'heure, car c'était la veille du sabbat; ce qui fut cause qu'ils ne continuèrent pas de les poursuivre. (2 Maccabées 8, 26)

  • Tandis qu'ils avaient encore le deuil, pour ainsi dire, entre les mains, et qu'ils pleuraient aux tombeaux de leurs morts, ils conçurent follement une autre pensée, et ils se mirent à poursuivre comme des fugitifs ceux qu'ils avaient renvoyés avec des supplications. (Sagesse 19, 3)


“O demônio é forte com quem o teme, mas é fraco com quem o despreza.” São Padre Pio de Pietrelcina