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  • Israël demeura donc en Egypte, c'est-à-dire dans la terre de Gessen, dont il jouit comme de son bien propre, et où sa famille s'accrut et se multiplia extraordinairement. (Genèse 47, 27)

  • Car les yeux d'Israël s'étaient obscurcis à cause de sa grande vieillesse, et il ne pouvait bien voir. Les ayant donc fait approcher de lui, il les embrassa et les baisa; (Genèse 48, 10)

  • En disant à son père: Vos mains ne sont pas bien, mon père, car celui-ci est l'aîné. Mettez votre main droite sur sa tête. (Genèse 48, 18)

  • Je vous donne de plus qu'à vos frères cette part de mon bien que j'ai gagnée sur les Amorrhéens avec mon épée et mon arc. (Genèse 48, 22)

  • Dan gouvernera son peuple aussi bien que les autres tribus d'Israël. (Genèse 49, 16)

  • Après la mort de Jacob, les frères de Joseph eurent peur, et ils s'entredirent: Joseph pourrait bien maintenant se souvenir de l'injure qu'il a soufferte, nous rendre tout le mal que nous lui avons fait. (Genèse 50, 15)

  • Vous avez eu le dessein de me faire du mal; mais Dieu a changé ce mal en bien, afin de m'élever comme vous voyez maintenant, et de sauver plusieurs peuples. (Genèse 50, 20)

  • Dieu fit donc du bien à ces sages-femmes, et le peuple s'accrut et se fortifia extraordinairement. (Exode 1, 20)

  • Le Pharaon dit encore à Moïse: Retirez-vous, et gardez-vous bien de paraître jamais devant moi; car le jour que vous vous montrerez à moi, vous mourrez. (Exode 10, 28)

  • Vous ne faites pas bien, répondit Jéthro. (Exode 18, 17)

  • Si donc vous écoutez Ma voix et si vous gardez Mon alliance, vous M'appartiendrez entre tous les peuples comme Mon bien propre; car toute la terre est à Moi. (Exode 19, 5)

  • Vous marquerez tout autour des limites pour le peuple, et vous leur direz: Prenez bien garde de ne pas monter sur la montagne ni d'en toucher les bords. Quiconque touchera la montagne sera puni de mort. (Exode 19, 12)


“É doce o viver e o penar para trazer benefícios aos irmãos e para tantas almas que, vertiginosamente, desejam se justificar no mal, a despeito do Bem Supremo.” São Padre Pio de Pietrelcina