Marc, 12

21. Le second la prit et mourut aussi sans laisser de postérité. Le troisième pareillement.

Stihovi vezani uz Marc, 12:

À Saint-Marc 12, Jésus continue d'enseigner au peuple et de confronter les chefs religieux. Il raconte la parabole des locataires maléfiques, où les chefs religieux sont décrits comme de mauvais locataires qui tuent l'envoi du propriétaire. Jésus est interrogé par les pharisiens et les Hérodiens pour savoir s'il est juste de payer des impôts à César. Il répond "Ensuite, à César ce qui est de César et de Dieu ce qui est de Dieu." Un scribe interroge Jésus sur ce qui est le plus grand commandement, et Jésus répond "Tu aimes le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, toute ta compréhension et toutes tes forces." Jésus observe également l'offre des riches et de la pauvre veuve, qui ont donné tout ce qu'il devait vivre.

Deutéronome 6:5 - "Tu aimeras le Seigneur ton Dieu, avec tout ton cœur, avec toute ton âme et avec toute ta force." Ce verset se rapporte à la réponse de Jésus au scribe qui a demandé quel est le plus grand commandement.

Psaume 118:22 - "La pierre que les constructeurs a rejetée est devenue la pierre angulaire." Jésus cite ce verset en parlant de la parabole des locataires maléfiques, où les chefs religieux rejettent Jésus, qui devient la pierre angulaire.

Ésaïe 5:1-2 - "Je veux chanter à ma chanson de mon ami bien-aimée sur son vignoble: mon bien-aimé avait un vignoble dans une colline fertile. Excellents vides; et construit au milieu d'une tour." La parabole des locataires diaboliques est une allusion à ce passage du livre d'Isaïe, qui décrit comment Dieu a pris soin de son vignoble, mais les gens qui l'ont cultivé étaient infidèles.

2 Corinthiens 9:7 - "Chacun contribue selon le cœur, pas avec tristesse ou nécessité; car Dieu aime ceux qui donnent avec joie." Ce verset peut être lié à l'offre de la pauvre veuve, qui a donné tout ce qu'il devait vivre, mais avec un cœur gai et généreux.

Romains 13:1 - "Chaque âme est soumise aux autorités supérieures; car il n'y a pas d'autorité qui ne vient pas de Dieu; et les autorités qui existent ont été ordonnées par Dieu." Ce verset peut être lié à la réponse de Jésus aux pharisiens et aux Hérodiens lorsqu'ils demandent s'il est juste de payer des impôts sur César. Jésus répond que nous devons donner à César ce qui est César et Dieu ce qui est de Dieu, reconnaissant l'autorité de César en tant qu'institution établie par Dieu.