Lévitique, 11

40. Celui qui en mangera, ou qui en portera quelque chose, lavera ses vêtements et sera impur jusqu'au soir.

Stihovi vezani uz Lévitique, 11:

Leviticus 11 traite des lois alimentaires et de la distinction entre les animaux considérés comme purs et impurs pour la consommation. Les règles de nourriture étaient importantes pour assurer la sainteté du peuple d'Israël et plaire à Dieu. Voici cinq versets liés à ces sujets:

Deutéronome 14:3-4: "Ne mangez rien à détestable. Ce sont les animaux que vous pouvez manger: le bœuf, les moutons, la chèvre ..." Ce verset se rapporte directement au Lévitique 11, car il parle également des lois alimentaires également et la distinction entre les animaux purs et impurs.

Matthieu 15:11: "Ce qui contamine l'homme n'est pas ce qui entre dans la bouche, mais ce qui sort de la bouche, c'est ce qui contamine l'homme." Ce verset est intéressant parce que Jésus semble contredire les lois alimentaires du Lévitique 11. Il souligne que la sainteté vient du cœur et ne suivait pas les règles externes.

Actes 10:13-15: "Puis une voix lui a dit:" Lève-toi, Peter, tuer et manger! " "Pas du tout, Seigneur! Je n'ai jamais rien mangé impur ou sale", a déclaré Peter. La voix lui a parlé pour la deuxième fois: «Ne vous impurez pas impur sur ce que Dieu a purifié. Cet épisode de Peter In Jope montre que la distinction entre les animaux purs et impurs n'est plus nécessaire après la venue de Jésus.

Marc 7:19: "Pourquoi ne pas entrer dans votre cœur, mais dans votre estomac, et sont éliminés?" En disant cela, Jésus expliquait que les aliments n'affectent pas la relation de l'homme avec Dieu. Cela suggère que les lois alimentaires du Lévitique 11 étaient plus pour maintenir l'ordre social que d'assurer la sainteté.

Colossians 2:16-17: "Par conséquent, personne ne peut les juger pour ce que vous mangez ou buvez, ou avec une fête religieuse ou la célébration des jours nouveaux ou le samedi. Ces choses sont des ombres de ce qui allait arriver; la réalité, cependant , se trouve en Christ. " Ce verset suggère que la sainteté ne dépend pas du suivi des lois alimentaires du Lévitique 11 ou d'observer les festivités religieuses, mais d'avoir une relation personnelle avec le Christ.