Talált 570 Eredmények: feu

  • cet arbre, dont le feuillage était beau et les fruits abondants, qui portait de la nourriture pour tous, sous lequel s`abritaient les bêtes des champs, et parmi les branches duquel les oiseaux du ciel faisaient leur demeure, (Daniel 4, 21)

  • Je regardai, pendant que l`on plaçait des trônes. Et l`ancien des jours s`assit. Son vêtement était blanc comme la neige, et les cheveux de sa tête étaient comme de la laine pure; son trône était comme des flammes de feu, et les roues comme un feu ardent. (Daniel 7, 9)

  • Un fleuve de feu coulait et sortait de devant lui. Mille milliers le servaient, et dix mille millions se tenaient en sa présence. Les juges s`assirent, et les livres furent ouverts. (Daniel 7, 10)

  • Je regardai alors, à cause des paroles arrogantes que prononçait la corne; et tandis que je regardais, l`animal fut tué, et son corps fut anéanti, livré au feu pour être brûlé. (Daniel 7, 11)

  • Son corps était comme de chrysolithe, son visage brillait comme l`éclair, ses yeux étaient comme des flammes de feu, ses bras et ses pieds ressemblaient à de l`airain poli, et le son de sa voix était comme le bruit d`une multitude. (Daniel 10, 6)

  • Ils sont tous adultères, Semblables à un four chauffé par le boulanger: Il cesse d`attiser le feu Depuis qu`il a pétri la pâte jusqu`à ce qu`elle soit levée. (Osée 7, 4)

  • Ils appliquent aux embûches leur coeur pareil à un four; Toute la nuit dort leur boulanger, Et au matin le four brûle comme un feu embrasé. (Osée 7, 6)

  • Israël a oublié celui qui l`a fait, Et a bâti des palais, Et Juda a multiplié les villes fortes; Mais j`enverrai le feu dans leurs villes, Et il en dévorera les palais. (Osée 8, 14)

  • C`est vers toi que je crie, ô Éternel! Car le feu a dévoré les plaines du désert, Et la flamme a brûlé tous les arbres des champs. (Joël 1, 19)

  • Les bêtes des champs crient aussi vers toi; Car les torrents sont à sec, Et le feu a dévoré les plaines du désert. (Joël 1, 20)

  • Devant lui est un feu dévorant, Et derrière lui une flamme brûlante; Le pays était auparavant comme un jardin d`Éden, Et depuis, c`est un désert affreux: Rien ne lui échappe. (Joël 2, 3)

  • A les entendre, on dirait un bruit de chars Sur le sommet des montagnes où ils bondissent, On dirait un pétillement de la flamme du feu, Quand elle consume le chaume. C`est comme une armée puissante Qui se prépare au combat. (Joël 2, 5)


“Quanto maiores forem os dons, maior deve ser sua humildade, lembrando de que tudo lhe foi dado como empréstimo.” São Padre Pio de Pietrelcina