Talált 1983 Eredmények: familles d'Israël

  • Voici ce que dit Yahvé: Dites-moi les villes en Israël qui envoyaient mille hommes en campagne: elles n'en auront plus que cent; celle qui pouvait en envoyer cent n'en aura plus que dix. (Amos 5, 3)

  • Car voici ce que dit Yahvé à la maison d'Israël: Cherchez-moi et vous vivrez! (Amos 5, 4)

  • M'offriez-vous des sacrifices et des offrandes pendant les quarante ans du désert, maison d'Israël? (Amos 5, 25)

  • Malheur aux notables du premier des peuples, ces hommes à qui s'adresse toute la nation d'Israël! Installés dans votre orgueil, vous vous sentez en sécurité sur la montagne de Samarie. (Amos 6, 1)

  • Mais moi je fais venir contre vous, gens d'Israël, une nation qui vous réduira en esclavage, depuis l'entrée de Hamat jusqu'au torrent de la Araba - parole de Yahvé, Dieu Sabaot. (Amos 6, 14)

  • Yahvé me dit: "Amos que vois-tu?" Je répondis: "Un fil à plomb." Le Seigneur me dit: "Voici que je vais mettre d'aplomb mon peuple Israël, et désormais je ne lui pardonnerai plus. (Amos 7, 8)

  • Les hauts-lieux d'Isaac seront ruinés, les sanctuaires d'Israël seront dévastés, et je m'en prendrai à la maison de Jéroboam l'épée à la main." (Amos 7, 9)

  • Alors Amasias, le prêtre de Béthel, envoya dire à Jéroboam, roi d'Israël: "Amos conspire contre toi au coeur du pays d'Israël, le pays ne peut plus supporter ses discours. (Amos 7, 10)

  • Oui, voici ce que dit Amos: Jéroboam sera tué par l'épée et Israël sera déporté loin de sa terre." (Amos 7, 11)

  • Mais Yahvé m'a pris de derrière le troupeau et m'a dit: Va, prophétise à mon peuple Israël. (Amos 7, 15)

  • Puisque tu me dis maintenant: Ne prophétises plus contre Israël, cesse de raconter tes sornettes contre la maison d'Isaac, écoute cette parole de Yahvé: (Amos 7, 16)

  • Ta femme se prostituera dans la ville, tes fils et tes filles seront tués par l'épée, ta terre sera partagée, et toi tu mourras sur une terre impure; quant à Israël, il sera déporté loin de sa terre." (Amos 7, 17)


“Amar significa dar aos outros – especialmente a quem precisa e a quem sofre – o que de melhor temos em nós mesmos e de nós mesmos; e de dá-lo sorridentes e felizes, renunciando ao nosso egoísmo, à nossa alegria, ao nosso prazer e ao nosso orgulho”. São Padre Pio de Pietrelcina