Talált 128 Eredmények: Joab

  • Achimaas, fils de Sadoc, dit encore à Joab: « Quoi qu'il puisse arriver, laisse-moi courir, moi aussi, après le Couschite. » Et Joab dit: « Pourquoi veux-tu courir, mon fils? Ce message ne saurait te profiter. » (2 Samuel 18, 22)

  • Achimaas reprit: « Quoi qu'il arrive, je courrai. » Et Joab lui dit: « Cours! » Achimaas courut par le chemin de la Plaine, et il devança le Couschite. (2 Samuel 18, 23)

  • Le roi dit: « Tout va-t-il bien pour le jeune homme, pour Absalom? » Achimaas répondit: « J'ai aperçu une grande foule au moment où Joab envoyait le serviteur du roi et moi, ton serviteur, et j'ignore ce que c'était. (2 Samuel 18, 29)

  • On vint dire à Joab: « Voici que le roi pleure et se lamente sur son fils. » (2 Samuel 19, 2)

  • Joab vint vers le roi chez lui, et dit: « Tu couvres aujourd'hui de confusion la face de tous tes serviteurs qui ont en ce jour sauvé ta vie et la vie de tes fils et de tes filles, et la vie de tes femmes et la vie de tes concubines. (2 Samuel 19, 6)

  • Vous direz aussi à Amasa; « N'es-tu pas mon os et ma chair? Que Dieu me traite dans toute sa rigueur, si tu ne deviens pas devant moi pour toujours chef de l'armée à la place de Joab! » (2 Samuel 19, 14)

  • Derrière Abisaï partirent les gens de Joab, les Céréthiens et les Phéléthiens, et tous les vaillants hommes; ils sortirent de Jérusalem afin de poursuivre Séba, fils de Bochri. (2 Samuel 20, 7)

  • Lorsqu'ils furent près de la grande pierre qui est à Gabaon, Amasa arriva devant eux. Joab avait pour vêtement une tunique militaire, et sur cette tunique était ceinte une épée attachée à ses reins dans son fourreau. Comme il s'avançait, l'épée tomba. (2 Samuel 20, 8)

  • Et Joab dit à Amasa; « Te portes-tu bien, mon frère? » Et la main droite de Joab saisit la barbe d'Amasa pour le baiser. (2 Samuel 20, 9)

  • Amasa ne prit pas garde à l'épée qui était dans la main de Joab; et Joab l'en frappa au ventre et répandit ses entrailles à terre et, sans qu'on lui portât un second coup, Amasa mourut. Joab et son frère Abisaï se mirent à la poursuite de Séba, fils de Bochri. (2 Samuel 20, 10)

  • Mais un des jeunes hommes de Joab resta près d'Amasa, et il disait: « Qui est favorable à Joab, et qui est pour David, qu'il suive Joab! » (2 Samuel 20, 11)

  • Lorsqu'il fut ôté de la route, chacun passa après Joab, à la poursuite de Séba, fils de Bochri. (2 Samuel 20, 13)


“O mais belo Credo é o que se pronuncia no escuro, no sacrifício, com esforço”. São Padre Pio de Pietrelcina