Talált 240 Eredmények: Joseph

  • Quand les jours de son deuil furent passés, Joseph s'adressa aux gens de la maison de Pharaon, et leur dit : " Si j'ai trouvé grâce à vos yeux, rapportez ceci, je vous prie, aux oreilles de Pharaon : (Genèse 50, 4)

  • Joseph monta pour enterrer son père. Avec lui montèrent tous les serviteurs de Pharaon, les anciens de sa maison, et tous les anciens du, pays d'Égypte, toute la maison de Joseph, (Genèse 50, 7)

  • Il montait encore avec Joseph des chars et des cavaliers, en sorte que le cortège était très nombreux. (Genèse 50, 9)

  • Arrivés à l'aire d'Atad, qui est au delà du Jourdain, ils firent en­tendre de grandes et profondes lamenta­tions, et Joseph célébra en l'honneur de son père un deuil de sept jours. (Genèse 50, 10)

  • Après avoir enterré son père, Joseph retourna en Egypte avec ses frères et tous ceux qui étaient montés avec lui pour enterrer son père. (Genèse 50, 14)

  • Quand les frères de Joseph virent que leur père était mort, ils dirent : " Si Jo­seph nous prenait en haine, et nous ren­dait tout le mal que nous lui avons fait !" (Genèse 50, 15)

  • Et ils firent dire à Joseph : " Ton père a donné cet ordre avant de mourir : (Genèse 50, 16)

  • Vous parlerez ainsi à Joseph : Oh ! pardonne le crime de tes frères et leur péché, car ils t'ont fait du mal ! Maintenant donc, je te prie, pardonne le crime des servi­teurs du Dieu de ton père. " Joseph pleura, en entendant ces paroles. (Genèse 50, 17)

  • Joseph leur dit: " Soyez sans crainte; car suis-je à la place de Dieu ? (Genèse 50, 19)

  • Joseph demeura en Egypte, lui et la maison de son père. Il vécut cent dix ans. (Genèse 50, 22)

  • Joseph vit les fils d'Ephraïm jusqu'à la troisième génération; des fils de Machir, fils de Manassé, naquirent aussi sur les genoux de Joseph. (Genèse 50, 23)

  • Joseph dit à ses frères: "pour moi, je vais mourir, mais Dieu vous visitera certainement et vous fera remonter de ce pays dans la pays qu'il a juré de donner à Abraham, à Isaac et à Jacob." (Genèse 50, 24)


“É doce o viver e o penar para trazer benefícios aos irmãos e para tantas almas que, vertiginosamente, desejam se justificar no mal, a despeito do Bem Supremo.” São Padre Pio de Pietrelcina