Talált 276 Eredmények: belles-filles

  • Ils versèrent le sang innocent, le sang de leurs fils et de leurs filles, qu'ils sacrifiaient aux idoles de Chanaan ; et le pays fut profané par des meurtres. (Psaumes 106, 38)

  • Que nos fils, comme des plants vigoureux, grandissent en leur jeunesse! Que nos filles soient comme les colonnes angulaires, sculptées à la façon de celles d'un temple! (Psaumes 144, 12)

  • Les chefs et les anciens poussèrent des gémissements ; les jeunes filles et les jeunes gens perdirent leur vigueur et la beauté des femmes s'altéra. (1 Maccabées 1, 27)

  • savoir le pays de l'Inde, la Médie et la Lydie, et des portions de ses plus belles provinces, et, après les avoir reçues de lui, ils les avaient cédées an roi Eumène. (1 Maccabées 8, 8)

  • Les femmes, la poitrine couverte de sacs, remplissaient lesrues; celles des jeunes filles qui étaientrenfermées, couraient les unes aux portes, les autres versles murailles; quelques-unes regardaient par lesfenêtres; (2 Maccabées 3, 19)

  • Ainsi furent tués des jeunes gens et des vieillards;ainsi périrent des hommes faits, des femmes et desenfants; ainsi furent égorgés des jeunes filles etdes nourrissons. (2 Maccabées 5, 13)

  • d'orner des plus belles offrandes le temple saint qu'il avaitjadis dépouillé, de lui rendre et au delàtous ses ustensiles sacrés et de subvenir de ses propresrevenus aux frais des sacrifices, (2 Maccabées 9, 16)

  • Tu vomiras le morceau que tu as mangé, et tu en seras pour tes belles paroles. (Proverbes 23, 8)

  • La sangsue a deux filles: Donne! Donne! Trois choses sont insatiables, quatre ne disent jamais: Assez: (Proverbes 30, 15)

  • « Beaucoup de filles se sont montrées vertueuses; mais toi, tu les surpasses toutes. » (Proverbes 31, 29)

  • Où les deux battants de la porte se ferment sur la rue, tandis que s'affaiblit le bruit de la meule; où l'on se lève au chant de l'oiseau, où disparaissent toutes les filles du chant; (Ecclésiaste (or Qohélet) 12, 4)

  • tes parfums ont une odeur suave, ton nom est une huile épandue ; c'est pourquoi les jeunes filles t'aiment. (Cantique des Cantiques 1, 3)


“A mansidão reprime a ira.” São Padre Pio de Pietrelcina