Talált 30 Eredmények: Booz

  • Et lorsque Booz, après avoir bu et mangé, et être devenu plus gai, s'en alla dormir près d'un tas de gerbes, elle vint doucement, et, ayant découvert sa couverture du côté des pieds, elle se coucha là. (Ruth 3, 7)

  • Tout à coup, vers minuit, Booz fut effrayé et se troubla voyant une femme couchée à ses pieds; (Ruth 3, 8)

  • Booz lui dit: Ma fille, que le Seigneur vous bénisse; cette dernière bonté que vous témoignez dépasse encore la première, parce que vous n'êtes pas allée chercher de jeunes gens, pauvres ou riches. (Ruth 3, 10)

  • Elle dormit donc à ses pieds jusqu'à ce que la nuit fût passée; et elle se leva le matin, avant que les hommes se pussent entre-connaître. Booz lui dit encore: Prenez bien garde que personne ne sache que vous êtes venue ici. (Ruth 3, 14)

  • et vint trouver sa belle-mère, qui lui dit: Ma fille, qu'avez-vous fait? Elle lui raconta tout ce que Booz avait fait pour elle, (Ruth 3, 16)

  • Booz alla donc à la porte de la ville, et s'y assit; et voyant passer ce parent dont il a été parlé auparavant, il lui dit en l'appelant par son nom: Venez un peu ici, et asseyez-vous. Ce parent vint donc et il s'assit. (Ruth 4, 1)

  • Et Booz, ayant pris dix hommes des anciens de la ville, leur dit: Asseyez-vous ici. (Ruth 4, 2)

  • Booz ajouta: Quand vous aurez acheté le champ de Noémi, il faudra aussi que vous épousiez Ruth la Moabite, qui a été la femme du défunt; afin que vous fassiez revivre le nom de votre parent dans son héritage. (Ruth 4, 5)

  • Booz dit donc à son parent: Otez votre soulier. Et il l'enleva aussitôt de son pied. (Ruth 4, 8)

  • Booz dit alors devant les anciens et devant tout le peuple: Vous êtes témoins aujourd'hui que j'acquiers tout ce qui a appartenu à Elimélech, à Chélion et a Mahalon, l'ayant acheté de Noémi, (Ruth 4, 9)

  • Booz prit donc Ruth et l'épousa; et après qu'elle fut mariée, le Seigneur lui fit la grâce de concevoir et d'enfanter un fils. (Ruth 4, 13)

  • Salmon,de Booz; Booz, d'Obed; (Ruth 4, 21)


“Há alegrias tão sublimes e dores tão profundas que não se consegue exprimir com palavras. O silêncio é o último recurso da alma, quando ela está inefavelmente feliz ou extremamente oprimida!” São Padre Pio de Pietrelcina