Talált 24 Eredmények: Raguël

  • Et Raguël appela Anne, sa femme, et lui ordonna de préparer une autre chambre. (Tobie 7, 18)

  • Or, vers le chant du coq, Raguël ordonna qu'on fît venir ses serviteurs, et ils s'en allèrent avec lui pour creuser une fosse. (Tobie 8, 11)

  • Et lorsqu'ils eurent pérparé la fosse, Raguël, étant revenu près de sa femme, lui dit: (Tobie 8, 13)

  • Et elle revint et annonça cette bonne nouvelle. Alors Raguël et Anne, sa femme, bénirent le Seigneur, (Tobie 8, 16)

  • Et aussitôt Raguël ordonna à ses serviteurs de remplir avant le jour la fosse qu'ils avaient faite. (Tobie 8, 20)

  • Raguël conjura ensuite Tobie de demeurer avec lui pendant deux semaines. (Tobie 8, 23)

  • Vous voyez aussi de quelle manière Raguël m'a conjuré, et que je ne puis résister à ses instances. (Tobie 9, 5)

  • Raphaël prit donc quatre serviteurs de Raguël et deux chameaux, et s'en alla à Ragès, ville des Mèdes, et ayant trouvé Gabélus, il lui rendit son obligation et reçut de lui tout l'argent. (Tobie 9, 6)

  • Et lorsque Gabélus fut entré dans la maison de Raguël, il trouva Tobie à table; celui-ci se leva, et ils s'embrassèrent l'un l'autre, et Gabélus pleura et bénit Dieu, (Tobie 9, 8)

  • Cependant Raguël disait à son gendre: Demeurez ici, et j'enverrai à Tobie votre père des nouvelles de votre santé. (Tobie 10, 8)

  • Et comme Raguël priait Tobie avec de grandes instances, et que celui-ci refusait de consentir, il lui remit Sara et la moitié de tout ce qu'il possédait en serviteurs, en servantes, en troupeaux, en chameaux, en vaches, et une grande quantité d'argent, et il le laissa partir plein de santé et de joie, (Tobie 10, 10)

  • Et il les trouva bien portants, dans une heureuse vieillesse, et il eut soin d'eux, et leur ferma les yeux; il recueillit toute la succession de la maison de Raguël, et il vit les enfants de ses enfants jusqu'à la cinquième génération. (Tobie 14, 15)


“Dirás tu o mais belo dos credos quando houver noite em redor de ti, na hora do sacrifício, na dor, no supremo esforço duma vontade inquebrantável para o bem. Este credo é como um relâmpago que rasga a escuridão de teu espírito e no seu brilho te eleva a Deus”. São Padre Pio de Pietrelcina