Talált 79 Eredmények: belle

  • l'avertissant d'honorer son beau-père et sa belle-mère, d'aimer son mari, de règler sa famille, de gouverner sa maison, de se conserver elle-même irrépréhensible. (Tobie 10, 13)

  • Or il arriva qu'après la mort de sa mère Tobie sortit de Ninive avec sa femme, ses enfants et les enfants de ses enfants, et il retourna chez son beau-père et sa belle-mère. (Tobie 14, 14)

  • de faire venir devant le roi la reine Vasthi, avec le diadme sur sa tête, pour montrer sa beauté à tous ses peuples et aux princes, car elle était extrêmement belle. (Esther 1, 11)

  • Il avait élevé auprès de lui la fille de son frère, Edissa, qui portait aussi le nom d'Esther. Elle avait perdu son père et sa mère. Elle était parfaitement belle et avait un visage très gracieux. Après la mort de son père et de sa mère, Mardochée l'avait adoptée pour sa fille. (Esther 2, 7)

  • Un anneau d'or aux narines d'une truie, telle est une femme belle et insensée. (Proverbes 11, 22)

  • Elle te paraîtra belle, lorsque tu la garderas au fond de ton coeur, et elle se répandra sur tes lèvres, (Proverbes 22, 18)

  • Il y a trois choses qui ont une belle allure, et une quatrième qui s'avance magnifiquement: (Proverbes 30, 29)

  • Je suis noire, mais je suis belle, filles de Jérusalem, comme les tentes de Cédar, comme les pavillons de Salomon. (Cantique des Cantiques 1, 4)

  • Si tu ne te connais pas, ô la plus belle d'entre les femmes, sors, et va à la suite des troupeaux, et fais paître tes chevreaux près des tentes des pasteurs. (Cantique des Cantiques 1, 7)

  • Que tu es belle, mon amie! que tu es belle! Tes yeux sont comme ceux des colombes. (Cantique des Cantiques 1, 14)

  • Voilà mon bien-aimé qui me parle: Lève-toi, hâte-toi, mon amie, ma colombe, ma belle, et viens. (Cantique des Cantiques 2, 10)

  • le figuier a poussé ses premiers fruits; les vignes en fleur ont répandu leur parfum. Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens; (Cantique des Cantiques 2, 13)


“Os corações fortes e generosos não se lamentam, a não ser por grandes motivos e,ainda assim,não permitem que tais motivos penetrem fundo no seu íntimo.(P.e Pio) São Padre Pio de Pietrelcina