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Le roi Ozias fut donc lépreux jusqu'au jour de sa mort; et il demeura dans une maison séparée, à cause de cette lèpre qui le couvrait, et qui l'avait fait chasser de la maison du Seigneur. Joatham, son fils, gouverna la maison du roi, et rendait la justice au peuple du pays. (2 Chroniques 26, 21)
Le reste des actions d'Ozias, les premières et les dernières, a été écrit par le prophète Isaïe, fils d'Amos. (2 Chroniques 26, 22)
Et Ozias s'endormit avec ses pères, et on l'enterra dans le champ où étaient les tombeaux des rois, parce qu'il était lépreux; et Joatham, son fils, régna à sa place. (2 Chroniques 26, 23)
Il fit ce qui était droit devant le Seigneur; et il se conduisit en tout comme avait fait Ozias son père, si ce n'est qu'il n'entra point dans le temple du Seigneur; et le peuple continuait encore de pécher. (2 Chroniques 27, 2)
Des fils d'Harim : Maasia et Elia, Séméia, Jéhiel et Ozias. (Esdras 10, 21)
En ce temps-là Ozias, fils de Micha, de la tribu de Siméon, et Charmi qui s'appelait aussi Gothoniel, étaient les chefs de Béthulie. (Judith 6, 11)
L'assemblée étant finie, Ozias le reçut dans sa maison, et lui donna un grand festin. (Judith 6, 19)
Alors les hommes, les femmes, les jeunes gens et les petits enfants vinrent en foule trouver Ozias, et tous d'une seule voix (Judith 7, 12)
Ozias se levant, baigné de larmes, leur dit : Ayez bon courage, mes frères, et attendons pendant cinq jours la miséricorde du Seigneur. (Judith 7, 23)
Or ces paroles d'Ozias furent rapportées à Judith, veuve, qui était fille de Mérari, fils d'Idox, fils de Joseph, fils d'Ozias, fils d'Elaï, fils de Jamnor, fils de Gédéon, fils de Raphaïm, fils d'Achitob, fils de Melchia, fils d'Enan, fils de Nathania, fils de Salathiel, fils de Siméon, fils de Ruben. (Judith 8, 1)
Ayant donc appris qu'Ozias avait promis de livrer la ville dans cinq jours, elle envoya chercher Chabri et Charmi, anciens du peuple. (Judith 8, 9)
Ils vinrent auprès d'elle, et elle leur dit : Comment donc Ozias a-t-il consenti de livrer la ville aux Assyriens, s'il ne vous venait du secours dans cinq jours? (Judith 8, 10)