Matthieu, 22

34. Les Pharisiens, ayant appris queJésus avait réduit au silence les Sadducéens, se rassemblèrent.

Versi relativi a Matthieu, 22:

À St. Matthieu 22, Jésus continue d'enseigner les multitudes avec des paraboles et répond à diverses questions des pharisiens et des sadducéens, y compris la question de ce qui est le plus grand commandement de la loi. Jésus souligne l'importance de l'amour pour Dieu et le voisin, et met en garde contre l'hypocrisie religieuse. Voici cinq versets liés aux sujets abordés dans ce chapitre:

Lévitique 19:18: "Ils ne vingue pas ou ne gardent pas de rancune contre quelqu'un de leur peuple, mais aiment chacun comme le sien comme lui. Je suis le Seigneur." Jésus cite ce commandement lorsqu'on lui a demandé quel est le plus grand commandement de la loi, soulignant l'importance de l'amour du voisin.

Psaume 118:22-23: "La pierre que les constructeurs a rejetée est devenue la pierre angulaire. Cela vient du Seigneur et est quelque chose de merveilleux à nos yeux." Jésus utilise ce passage pour se qualifier de pierre angulaire rejetée par des chefs religieux, mais choisi par Dieu.

Isaiah 45:22-23: "Revenez vers moi et soyez sauvé, vous tous, fins de la terre; car je suis Dieu, et il n'y a pas d'autre. Ce ne sera pas révoqué: avant moi, chaque genou se pliera et tous La langue avouera que je suis Dieu. " Jésus utilise ce verset pour affirmer sa divinité et la nécessité de se tourner vers lui vers le salut.

Proverbes 22:16: "Celui qui opprime les pauvres pour augmenter sa richesse et donne des cadeaux à l'homme riche se terminera sûrement dans la pauvreté." Jésus condamne l'hypocrisie religieuse des pharisiens, qui se vantent d'une apparition de miséricorde alors qu'ils exploitent les pauvres et justifient leur comportement.

Ésaïe 64:6: "Nous devenons tous un être impur, et toutes nos bonnes œuvres sont comme des chiffons sales; nous dépérissons tous comme des feuilles, et comme le vent, nos iniquités nous conduisent." Jésus met en garde contre l'auto-justice et la confiance dans nos propres bonnes œuvres, soulignant le besoin de la grâce et de la miséricorde de Dieu pour le salut.