Znaleziono 2083 Wyniki dla: lorsqu'elle

  • Saraï dit à Abram: "Tu le vois bien, Yahvé n'a pas permis que j'enfante. Va donc vers ma servante, j'aurai peut-être un fils par elle." Abram écouta Saraï. (Genèse 16, 2)

  • Il s'approcha d'Agar et elle fut enceinte. Quand elle se vit enceinte, elle commença à mépriser sa maîtresse. (Genèse 16, 4)

  • Alors Saraï dit à Abram: "Tu es responsable de mon humiliation. C'est moi qui ai mis ma servante dans tes bras et, depuis qu'elle s'est vue enceinte, elle ne cesse pas de m'humilier. Que Yahvé juge entre moi et toi!" (Genèse 16, 5)

  • Abram dit à Saraï: "Voici ta servante, elle est à toi, fais-lui ce qui te semble bon." Alors Saraï la maltraita si bien qu'Agar s'enfuit loin d'elle. (Genèse 16, 6)

  • Il lui dit: "Agar, servante de Saraï, d'où viens-tu et où vas-tu?" Elle répondit: "Je me suis enfuie loin de Saraï, ma maîtresse." (Genèse 16, 8)

  • L'ange de Yahvé lui dit: "Retourne vers ta maîtresse et humilie-toi devant elle." (Genèse 16, 9)

  • Agar donna ce nom à Yahvé qui lui avait parlé: "Tu es El-Roï" car, dit-elle, "n'ai-je pas vu Celui qui me voit?" (Genèse 16, 13)

  • Abram avait quatre-vingt-six ans lorsqu'Agar lui donna Ismaël. (Genèse 16, 16)

  • Lorsqu'Abram avait quatre-vingt-dix-neuf ans, Yahvé lui apparut et lui dit: "Je suis le Dieu de la Steppe, marche devant moi et sois parfait. (Genèse 17, 1)

  • Tu circonciras celui qui est né dans ta maison comme celui qui a été acheté avec ton argent. Mon alliance sera gravée dans votre chair, elle deviendra ainsi une alliance perpétuelle. (Genèse 17, 13)

  • je la bénirai et je te donnerai par elle un fils. Je la bénirai et elle deviendra, non pas une, mais des nations: des peuples et des rois sortiront d'elle." (Genèse 17, 16)

  • Abraham tomba la face contre terre et se mit à rire; il se disait: "Est-ce qu'un homme âgé de cent ans peut donner la vie à un fils? Et Sara, une femme de quatre-vingt-dix ans, peut-elle encore enfanter?" (Genèse 17, 17)


“Apóie-se, como faz Nossa Senhora, à cruz de Jesus e nunca lhe faltará conforto”. São Padre Pio de Pietrelcina