Marc, 10

3. Il leur répondit : " Que vous a ordonné Moïse?"

Stihovi vezani uz Marc, 10:

Saint-Marc 10 traite de divers sujets, notamment le divorce, l'importance des enfants et le salut. Au début du chapitre, Jésus se dispute avec les pharisiens sur le divorce, enseignant que le mariage est une union sacrée qui doit être maintenue. Ensuite, Jésus bénit les enfants et déclare que le royaume de Dieu appartient à ceux qui sont comme eux. Enfin, un jeune homme riche s'approche de Jésus et demande ce qu'il devrait faire pour hériter de la vie éternelle, et Jésus lui dit de vendre tout ce qu'il a et de le suivre.

Proverbes 22:6: "Enseigne à l'enfant sur le chemin où il devrait marcher, et même lorsqu'il est âgé, il ne s'écartera pas de lui." Ce verset met en évidence l'importance d'enseigner et de guider les enfants, un message souligné par Jésus dans Saint-Marc 10.

Matthieu 19:21: "Jésus a répondu, si vous voulez être parfait, allez, vendez tout ce que vous avez, et donnez-le aux pauvres et prenez un trésor dans le ciel. Alors venez me suivre." Ce verset est similaire à la réponse de Jésus aux jeunes riches en Saint-Marc 10, soulignant l'importance d'abandonner tout en faveur de suivre le Christ.

Matthieu 19:6: "Donc ils ne sont plus deux, mais une chair. Par conséquent, ce que Dieu a uni, personne ne le sépare." Ce verset se rapporte à la discussion de Jésus sur le divorce à Saint-Marc 10, renforçant l'idée que le mariage est une union sacrée qui doit être maintenue.

Luc 18:17: "La vérité je vous dis, quiconque ne reçoit pas le royaume de Dieu en tant qu'enfant ne va pas entrer en lui." Cette déclaration de Jésus renforce l'importance des enfants, qu'il a béni à Saint-Marc 10 et a déclaré qu'ils représentent ceux qui sont dignes du Royaume de Dieu.

Marc 10:27: "Jésus a répondu:" Aux hommes est impossible, mais pas pour Dieu. À Dieu, tout est possible. "" Ce verset se produit immédiatement après la réponse de Jésus au riche jeune homme, qui était triste qu'il ne puisse pas abandonner ses richesses. Ici, Jésus souligne que le salut n'est possible que par Dieu et sa grâce.