Deutéronome, 14

4. Voici les animaux que vous devez manger: le boeuf, la brebis, la chèvre,

Stihovi vezani uz Deutéronome, 14:

Deutéronome 14 traite principalement des lois alimentaires de Dieu au peuple d'Israël, y compris quels animaux sont considérés comme purs et impurs pour la consommation. De plus, le chapitre aborde également l'importance de séparer la dîme et de le présenter devant le Seigneur.

Lévitique 11:47 - "pour différencier les impurs et les purs, et entre les animaux qui peuvent être mangés et les animaux qui ne peuvent pas être mangés." Ce verset montre que les lois alimentaires ont été données par Dieu pour différencier les purs et impurs.

Actes 10:14 - "Mais Peter a répondu:" Monsieur, parce que je n'ai jamais rien mangé de commun et de sale. " Peter, un Juif, réticent initialement à manger avec les Gentils, mais Dieu lui demande de ne pas appeler impur ce qu'il a purifié.

1 Timothée 4:4-5 - "Car chaque créature de Dieu est bonne, et il n'y a rien à rejeter, être reçu avec Thanksgiving. Car par la Parole de Dieu et la prière est sanctifiée." Ce verset montre que tous les aliments sont purs, à condition qu'ils soient reçus avec Thanksgiving et sanctifiés par la Parole de Dieu.

Malachi 3:10 - "Apportez toutes les dîmes au trésor, afin qu'il puisse y avoir un entretien dans ma maison, puis prouvez-moi, dit le Seigneur des hôtes, si je n'ouvre pas les fenêtres du ciel, et ne versez pas pour Une telle bénédiction, qu'il vous avertit la plus grande richesse. " Ce verset met en évidence l'importance d'apporter la dîme à la maison du Seigneur et la promesse de bénédictions abondantes en réponse.

Luc 21:1-4 - "Et, le regardant, il a vu les riches lancer ses offres dans l'arche au trésor; et il a vu une pauvre veuve y jeter deux petites pièces; et a dit, terde, je vous dis qu'il vous Jeté plus que toute cette pauvre veuve; car tous ceux qui ont donné ce qu'il lui avait laissé; mais cela, de leur pauvreté, a donné tout ce qu'il avait pour ses moyens de subsistance. " Ce verset met en évidence l'importance du sacrifice dans nos offrandes et nos dîmes, quelle que soit la valeur monétaire, et que Dieu apprécie la sincérité du cœur.