Talált 867 Eredmények: vis

  • C'est par la foi qu'il quitta l'Egypte, sans redouter la colère du roi; car il tint ferme, comme s'il voyait celui qui est invisible. (Hébreux 11, 27)

  • Car, si quelqu'un écoute la parole et ne l'observe pas, il est semblable à un homme qui regarde dans un miroir le visage qu'il tient de la nature : (Jacques 1, 23)

  • Ayez une conduite honnête au milieu des Gentils, afin que, sur le point même où ils vous calomnient comme si vous étiez des malfaiteurs, ils arrivent, en y regardant bien, à glorifier Dieu pour vos bonnes oeuvres au jour de sa visite. (1 Pierre 2, 12)

  • gens qui provoquent des divisions, hommes sensuels qui n'ont pas l'esprit. (Jude 1, 19)

  • Alors je me retournai pour voir quelle était la voix qui me parlait ; et quand je me fus retourné, je vis sept chandeliers d'or, (Apocalypse 1, 12)

  • Il tenait dans sa main droite sept étoiles; de sa bouche sortait un glaive aigu, à deux tranchants, et son visage était comme le soleil lorsqu'il brille dans sa force. (Apocalypse 1, 16)

  • Quand je le vis, je tombai à ses pieds comme mort; et il posa sur moi sa main droite, en disant : (Apocalypse 1, 17)

  • Voici que je viens bientôt : tiens ferme ce que tu as, afin que personne ne ravisse ta couronne. (Apocalypse 3, 11)

  • Après cela, je vis, et voici qu'une porte était ouverte dans le ciel, et la première voix que j'avais entendue, comme le son d'une trompette qui me parlait, dit "Monte ici, et je te montrerai ce qui doit arriver dans la suite". (Apocalypse 4, 1)

  • Puis je vis dans la main droite de Celui qui était assis sur le trône un livre écrit en dedans et en dehors, et scellé de sept sceaux. (Apocalypse 5, 1)

  • Et je vis un ange puissant qui criait d'une voix forte " Qui est digne d'ouvrir le livre et de rompre les sceaux? " (Apocalypse 5, 2)

  • Et je vis, et voici qu'au milieu du trône et des quatre animaux, et au milieu des vieillards, (Apocalypse 5, 6)


“Há alegrias tão sublimes e dores tão profundas que não se consegue exprimir com palavras. O silêncio é o último recurso da alma, quando ela está inefavelmente feliz ou extremamente oprimida!” São Padre Pio de Pietrelcina