Talált 867 Eredmények: vis

  • Et le cinquième ange sonna de la trompette ; et je vis une étoile qui était tombée du ciel sur la terre, et on lui donna la clef du puits de l'abîme. (Apocalypse 9, 1)

  • Ces sauterelles ressemblaient à des chevaux préparés pour le combat; elles avaient sur la tête comme des couronnes d'or; leurs visages étaient comme des visages d'hommes, (Apocalypse 9, 7)

  • Et voici comment les chevaux me parurent dans la vision, ainsi que ceux qui les montaient : ils avaient des cuirasses couleur de feu, d'hyacinthe et de soufre; les têtes des chevaux étaient comme des têtes de lions, et leur bouche jetait du feu, de la fumée et du soufre. (Apocalypse 9, 17)

  • Puis je vis un autre ange puissant qui descendait du ciel, enveloppé d'un nuage, et l'arc-en-ciel au-dessus de la tête ; son visage était comme le soleil, et ses pieds comme des colonnes de feu. (Apocalypse 10, 1)

  • Mais le parvis extérieur du temple, laisse-le en dehors et ne le mesure pas, car il a été abandonné aux Nations, et elles fouleront aux pieds la ville sainte pendant quarante deux mois. (Apocalypse 11, 2)

  • Puis je vis monter de la mer une bête qui avait sept têtes et dix cornes, et sur ses cornes dix diadèmes, et sur ses têtes des noms de blasphème. (Apocalypse 13, 1)

  • La bête que je vis ressemblait à un léopard; ses pieds étaient comme ceux d'un ours, et sa gueule comme une gueule de lion. Le dragon lui donna sa puissance, son trône et une grande autorité. (Apocalypse 13, 2)

  • Puis je vis monter de la terre une autre bête, qui avait deux cornes semblables à celles d'un agneau, et qui portait comme un dragon. (Apocalypse 13, 11)

  • Puis je vis un autre ange qui volait par le milieu du ciel, tenant l'Evangile éternel, pour l'annoncer aux habitants de la terre, à toute nation, à toute tribu, à toute langue et à tout peuple. (Apocalypse 14, 6)

  • Puis je vis dans le ciel un autre signe, grand et étonnant : sept anges qui tenaient en main sept plaies, les dernières, car c'est par elles que doit se consommer la colère de Dieu. (Apocalypse 15, 1)

  • Et je vis comme une mer de verre, mêlée de feu, et au bord de cette mer étaient debout les vainqueurs de la bête, de son image et du nombre de son nom, tenant les harpes sacrées. (Apocalypse 15, 2)

  • Après cela, je vis s'ouvrir dans le ciel le sanctuaire du tabernacle du témoignage. (Apocalypse 15, 5)


“O mais belo Credo é o que se pronuncia no escuro, no sacrifício, com esforço”. São Padre Pio de Pietrelcina