Talált 963 Eredmények: David et Jonathan

  • Et lorsqu'il eut aperçu David, et qu'il l'eut envisagé, voyant que c'était un jeune homme, blond et fort beau, il le méprisa, (1 Samuel 17, 42)

  • et lui dit: Suis-je un chien, pour que tu viennes à moi avec un bâton? Et ayant maudit David en jurant par ses dieux, (1 Samuel 17, 43)

  • Mais David dit au Philistin: Tu viens à moi avec l'épée, la lance, et le bouclier; mais moi je viens à toi au nom du Seigneur des armées, du Dieu des troupes d'Israël, auxquelles tu as insulté aujourd'hui. (1 Samuel 17, 45)

  • Le Philistin s'avança donc et marcha contre David. Et lorsqu'il s'en fut rapproché, David se hâta, et courut contre lui pour le combattre. (1 Samuel 17, 48)

  • Ainsi David remporta la victoire sur le Philistin, avec une fronde et une pierre; il le renversa par terre et le tua. Et comme il n'avait point d'épée à la main, (1 Samuel 17, 50)

  • Et David prit la tête du Philistin et la porta à Jérusalem, mais il mit ses armes dans sa tente. (1 Samuel 17, 54)

  • Lorsque Saül vit David qui marchait pour combattre le Philistin, il dit à Abner, général de son armée: Abner, de quelle famille est ce jeune homme? Abner lui répondit: Seigneur, je vous jure que je n'en sais rien. (1 Samuel 17, 55)

  • Et lorsque David fut revenu du combat, après avoir tué le Philistin, Abner l'amena et le présenta à Saül; David avait à la main la tête du Philistin. (1 Samuel 17, 57)

  • Et Saül dit à David: Jeune homme, de quelle famille êtes-vous? David lui répondit: Je suis fils de votre serviteur Isaï, le Bethléémite. (1 Samuel 17, 58)

  • Lorsque David achevait de parler à Saül, l'âme de Jonathas s'attacha étroitement à celle de David, et il l'aima comme lui-même. (1 Samuel 18, 1)

  • Saül, depuis ce jour-là, voulut toujours avoir David auprès de lui, et il ne lui permit plus de retourner dans la maison de son père. (1 Samuel 18, 2)

  • David et Jonathas firent aussi alliance ensemble; car Jonathas l'aimait comme lui-même. (1 Samuel 18, 3)


“É doce o viver e o penar para trazer benefícios aos irmãos e para tantas almas que, vertiginosamente, desejam se justificar no mal, a despeito do Bem Supremo.” São Padre Pio de Pietrelcina