Talált 963 Eredmények: David et Jonathan

  • C'est pourquoi il se dépouilla de la tunique dont il était revêtu, et la donna à David avec le reste de ses vêtements, jusqu'à son épée, son arc, et son baudrier. (1 Samuel 18, 4)

  • David allait partout où Saül l'envoyait, et il se conduisait avec beaucoup de prudence; et Saül lui donna le commandement sur des gens de guerre. Il était très aimé du peuple, et surtout des officiers de Saül. (1 Samuel 18, 5)

  • Or, quand David revint après avoir tué le Philistin, les femmes sortirent de toutes les villes d'Israël au-devant du roi Saül, en chantant et en dansant, au son des joyeux tambourins et des fifres. (1 Samuel 18, 6)

  • Et les femmes chantaient et jouaient en disant: Saül en a tué mille, et David dix mille. (1 Samuel 18, 7)

  • Saül s'irrita vivement et cette parole déplut à ses yeux. Ils ont donné, dit-il, dix mille hommes à David, et à moi mille; que lui reste-t-il après cela que d'être roi? (1 Samuel 18, 8)

  • Depuis ce jour-là, Saül ne regarda jamais David de bon oeil. (1 Samuel 18, 9)

  • Le lendemain, l'esprit malin envoyé de Dieu se saisit de Saül, qui eut des transports au milieu de sa maison. Et David jouait de la harpe devant lui, comme il avait coutume de faire. Or Saül, ayant sa lance à la main, (1 Samuel 18, 10)

  • la poussa contre David, dans le dessein de le percer d'outre en outre avec la muraille; mais David se détourna, et évita le coup par deux fois. (1 Samuel 18, 11)

  • Or Saül se mit à redouter David, voyant que le Seigneur était avec David, et qu'Il S'était retiré de lui. (1 Samuel 18, 12)

  • C'est pourquoi il l'éloigna d'auprès de sa personne, et lui donna le commandement de mille hommes. Ainsi David sortait et rentrait à la tête du peuple. (1 Samuel 18, 13)

  • Et David se conduisait dans tous ses actes avec une grande prudence, et le Seigneur était avec lui. (1 Samuel 18, 14)

  • Mais tout Israël et tout Juda aimait David, parce qu'il sortait et rentrait à leur tête. (1 Samuel 18, 16)


“O temor e a confiança devem dar as mãos e proceder como irmãos. Se nos damos conta de que temos muito temor devemos recorrer à confiança. Se confiamos excessivamente devemos ter um pouco de temor”. São Padre Pio de Pietrelcina