Job, 20

19. Car il a brisé et dépouillé les pauvres; il a ravi la maison qu'il n'avait pas fait bâtir.

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Job 20 présente un discours de Zofar, le troisième ami de Job, qui essaie de le convaincre de reconnaître la justice de Dieu dans ses afflictions et de confesser ses péchés. Zofar fait une description vive du sort des méchants, arguant que la punition divine y tombe toujours. Les versets suivants abordent des thèmes similaires à ceux traités par Zofar:

Proverbes 10:27: "La peur du Seigneur prolonge les jours, mais la vie des méchants est abrégée." Ce verset parle du sort des méchants, qui, selon Zofar dans Job 20, est marqué par la souffrance et la mort prématurée.

Psaume 37:35-36: "J'ai vu un méchant arrogant et se propager comme un arbre feuillu sur le sol indigène. Mais il est passé et il n'existe plus; je l'ai cherché, mais je ne pouvais pas être trouvé." Ce psaume parle également du sort des méchants, qui est comparé à un arbre sec et mort.

Proverbes 1:33: "Mais quiconque m'entendra vivre en toute sécurité et sera silencieux, sans crainte d'un mal." Ce verset met en évidence l'importance d'écouter la sagesse divine, que Zofar pense que Job rejette.

Psaume 11:6: "Il fera pleuvoir sur les braises méchantes et un soufre à incandescence; un vent sec sera leur part." Ce psaume parle également du sort des méchants, qui est décrit comme une pluie de feu et de soufre, similaire à la description de Zofar dans Job 20.

Proverbes 13:9: "La lumière des justes brille intensément, mais la lampe des méchants s'éteint." Ce verset met en évidence la différence entre les justes et les méchants, renforçant l'idée que la punition divine tombe toujours en quelques secondes.