4. Où les deux battants de la porte se ferment sur la rue, tandis que s'affaiblit le bruit de la meule; où l'on se lève au chant de l'oiseau, où disparaissent toutes les filles du chant;





“É necessário manter o coração aberto para o Céu e aguardar, de lá, o celeste orvalho.” São Padre Pio de Pietrelcina